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  • L'AVENTURIER DE LA FOI

    A maintes reprises, un important groupe de Coréens a inscrit Cucuron comme ville étape de son périple touristique.
    Cela est dû à la notoriété de l'un de ses concitoyens : Jean-Baptiste Ferréol, considéré en Corée du sud comme l'un des pères fondateurs de l'église catholique de ce pays.
    Jean-Baptiste est né à Cucuron, le 27 décembre 1808. ordonné prêtre à Avignon, il entre aux Missions-étrangères, qui le destinent à la Corée.
    Il arrive à Macao au printemps de 1840, échappe à mille dangers et persécutions à l'encontre des chrétiens, se rend en tartarie, puis en Mongolie où il est nommé évêque de Corée, le 31 décembre 1843.
    Fin juillet 1845, il ordonne à shanghaï le premier prêtre coréen : André Kim, futur martyr qui deviendra en 1984 saint André Kim.
    Monseigneur Ferréol meurt à séoul, le 3 février 1853.
    Le respect des Coréens pour Jean- Baptiste Ferréol s'accompagne ainsi d'un vif intérêt pour ce petit village de Provence.

    18,00 €
  • L'ÉCOLE CATHOLIQUE EST-ELLE UNE ÉCOLE COMME LES AUTRES ?

    L'ouvrage s’articule autour de quatre interrogations, chacune faisant l’objet d’une partie :
    1. Quelle est l’histoire de l’école catholique en France ? Ou quel est le devenir de l’école catholique au fil du temps ?
    2. Quels sont les cadres statutaires de l’école catholique ? Ou comment l’école catholique est structurée institutionnellement ?
    3. Quels sont les fondements théologiques de l’école catholique ? Ou quelles sont les raisons d’être et les finalités de l’école catholique ?
    4. Quelles conformations d’un établissement catholique à l’Evangile ? Ou quelles peuvent être, dans un établissement catholique, les réalisations de la référence constante à l’Evangile et de la vie de foi de l’Eglise ?

    18,00 €
  • L'ÉCOLE DES SABLES

    1958. Jacques Gohier a vingt ans. Jeune enseignant en Algérie, son premier poste l'amène dans une oasis de l'erg oriental… et jamais le choc de cette première confrontation avec le Sahara ne le quittera.
    Il ne cessera d'exorciser cette nostalgie par l'écriture et la plupart de ses ouvrages en sont inspirés.
    Quarante-cinq ans plus tard, une rencontre fortuite le plonge à nouveau dans les souvenirs de ce qui fut une grande aventure. L'immensité et la magie envoûtante du désert ! El Oued, la ville aux mille coupoles, lumineuse, mystérieuse… les îlots de verdure dans l'océan de sable, les odeurs mêlées de fleurs et d'épices, la rentrée des classes, les premiers élèves : Tayeb, Mabrouk, Aziza, le cadi de Guémar et bien d'autres... les mémoires de sables du jeune instituteur reprennent vie sur le papier.
    Le maître enseigna bien sûr le calcul, la lecture et l'écriture aux enfants de l'oasis mais il apprit plus encore des habitants du souf. Initié aux étranges coutumes, bercé par les incroyables récits, riches d'inoubliables sensations et de chaleureuses rencontres, le jeune instituteur sera plus qu'à son tour un élève curieux et attentif. Ce livre en témoigne et chacun de ses chapitres n'est que le couplet d'un vrai chant de passion pour une terre de légendes.
    Jacques Gohier quitta l'Algérie en 1962, rattrapé par ce que l'on nomma longtemps « les événements ». Grain de sable dans la tempête de l'Histoire, le quartz clair de son coeur de vingt ans restera à jamais marqué par ses aventures sahariennes et cette histoire d'amour avec le désert et les enfants de sa classe.

    20,00 €
  • L'EGLISE ET L'ETAT 2000 ans de laïcité

    On peut s’étonner que l’Église chrétienne soit devenue une structure de pouvoir et même un pouvoir en elle-même. Le Christ avait pourtant bien précisé : « Rendez donc à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu » (Mt 22, 21). On peut même dire qu’il avait désacralisé le pouvoir politique, qui perdait ainsi son caractère absolu en étant relativisé : le gouvernement devenait une affaire purement terrestre, certes concédée par Dieu – « Tu n’aurais aucun pouvoir sur moi si cela ne t’avait été donné d’en haut » (Jn 19, 11) — mais laissée au libre arbitre de l’homme.
    Malgré ses imperfections, ses erreurs et ses fautes, l’Église fait figure de boussole chargée de guider l’humanité vers l’amour de Dieu. À ce titre, elle œuvre dans le monde et réclame même qu’une place lui soit reconnue, car elle a besoin d’un minimum de liberté pour conduire son action. Le problème se pose donc inéluctablement de son positionnement dans la société et de ses rapports avec les pouvoirs publics. Comme elle intervient forcément dans la sphère civile, trois grands cas de figure existent : soit elle est persécutée par un pouvoir politique qui ne lui accorde aucune place, soit elle s’assujettit ce pouvoir politique qui devient alors son bras séculier exécutant ses désirs, soit ce pouvoir et elle se reconnaissent mutuellement leur autonomie tout en s’efforçant de collaborer selon des modalités dont existent forcément des milliers de variantes.
    Toute l’histoire de l’Église peut donc se résumer aux rapports qu’elle entretient avec le politique. Comme elle ne peut pas être éloignée des réalités terrestres — puisqu’elle est fondée sur l’Incarnation et qu’elle privilégie la méthode de l’inculturation —, elle est présente dans l’histoire personnelle des hommes mais aussi dans celle des peuples et des civilisations. Ses rapports avec l’État, quelque tournure qu’ils prennent, sont inévitables ; elle ne peut pas se confiner dans un splendide isolement et se laver les mains des réalités de ce bas monde : elle n’est pas Ponce Pilate.
    Au début du XXe siècle, l’Église catholique, tout en s’efforçant d’entretenir, grâce à sa diplomatie, des relations avec le plus grand nombre d’États, classait le monde selon le degré de liberté qui lui était concédé. Petit à petit s’est développée une sorte d’indifférence plus ou moins polie, qui s’est traduite, en 1947-1948, par l’élimination volontaire de toute référence religieuse lors de l’élaboration, à l’ONU, de la Déclaration universelle des droits de l’homme et plus récemment encore la criante omission dans la Constitution européenne.
    Cette histoire passionnante de la laïcité se lit comme un roman.

    22,00 €
  • L'ÉGLISE ET LA CRISE SANITAIRE

    L’essai analyse de façon objective et spirituelle ce qui s’est passé durant les 18 premiers mois de la crise du COVID19. Sanitaire ou politique, sa gestion est inédite dans l’histoire, ses conséquences plus dramatiques que le virus lui-même. La place donnée à la peur, la carence de « prendre soin », la corruption de la science, la perte des notions anthropologiques et la jeunesse prise en otage, sont autant d’éléments confrontés à la Parole de DIEU. Et ça ne colle pas ! De par ses fonctions de directeur d’EHPAD, l’auteur, témoin privilégié, pointe la peur de la mort et le défaut de « prendre soin » de notre système de santé.
    L’analogie que l’on peut faire entre les évènements et les différentes approches de manipulation et de propagande est troublante.
    Comment l’Église s’est-elle positionnée dans cette crise ? Comment peut-elle encore nous aider à combattre les manœuvres mondialistes antichrétiennes qui ne se cachent plus ?

    17,00 €
  • L'ENFANCE DE JESUS Joseph Ratzinger - Benoît XVI

    Au dire de l’auteur, son livre L’enfance de Jésus n’est pas le troisième tome de son étude magistrale sur Jésus de Nazareth, mais bien « une porte d’entrée » dans les deux autres tomes. Car Benoît XVI cherche à « interpréter, en dialoguant avec des exégètes d’hier et d’aujourd’hui, ce que Mathieu et Luc racontent, au début de leurs Évangiles, sur l’enfance de Jésus », pour donner une réponse à la question récurrente des Évangiles : Jésus, qui est-il ? d’où vient-il ? Juste à temps pour l’Avent et les fêtes de Noël 2014 paraît en version audio le beau livre du pape Benoît XVI sur l’enfance de Jésus. Sa lecture est rafraîchissante, comme le remarque le cardinal Christoph Schönborn. Et comme toujours chez l’éminent théologien Joseph Ratzinger, le style est clair et limpide, le contenu précis et actuel, l’information communiquée exacte et originale, les fruits pour la foi et la prière grands et bienfaisants.

    18,00 €
  • L'ENFANTEMENT D'UNE HUMANITÉ NOUVELLE

    Marie, mère de Jésus, reconnue femme d’exception au-delà de toutes les femmes de l’univers, s’avère être la pierre d’achoppement entre le judaïsme, le christianisme et l’islam : comment articuler les représentations de Myriam, sœur d’Aaron et de Moïse dans la Bible, avec Marie dans les Évangiles et Maryam, fille d’Imran à la fois la sœur de Moïse, d’Aaron et mère de Jésus, au mépris de toute continuité historique linéaire ?… Quel visage de la foi se dégage de ces différentes facettes de Marie ? Il s’agit de proposer une analyse de ces 3 figures féminines et de voir dans quelles mesures la relation homme-femme, une attitude, puis un rapport à Dieu se dessine, enfantant une humanité nouvelle.
    Ce texte entend donc démontrer comment les divergences et les incohérences entre les trois traditions monothéistes du point de vue historique s’effacent à travers le prisme d’une lecture du cœur, attentive à la symbolique des comportements de Marie, au carrefour du judaïsme, du christianisme et de l’islam. Elle semble rétablir un équilibre entre la Loi et le cœur, la parole et le silence. Ce qui autorise à favoriser par son intermédiaire de multiples facettes de Dieu au profit d’un dialogue interreligieux symphonique, où chacun des chemins converge vers une quête de la Foi.

    15,00 €