FABRICIUS - Le greffier de la Terreur
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Nicolas-Joseph Paris, dit Fabricius, a été greffier en chef du Tribunal révolutionnaire, instrument judiciaire de la Terreur, de sa création en mars 1793 à sa disparition en mai 1795. En cette qualité, avec ses commis, il a lu, tenu, dressé, établi, inventorié les documents de centaines d’instances qui ont envoyé à la mort des milliers d’hommes et de femmes.
De ce personnage tout à fait authentique et en dehors de sa fonction, on ne sait quasiment rien. L’auteur a imaginé que, dans les dernières années de sa vie, Fabricius entame la rédaction de ses mémoires et raconte les procès qu’il a vécus. Succèdent alors dans ses récits Marie-Antoinette, les Girondins, Danton, Marat, Mme Roland, Hébert, Bailly, Robespierre, Charlotte Corday, Philippe-Egalité, Carrier, Fouquier-Tinville, Olympe de Gouges, d’autres encore. L’ancien greffier ne prétend pas tout dire mais traduire ce qui l’a marqué ou impressionné, ses émotions, ses analyses, ses colères, ses regrets, ses espoirs, ses faiblesses, au cours des audiences et hors d’elles.
Les faits, circonstances et événements sur lesquels l’ancien greffier s’exprime sont, à de rares exceptions, parfaitement authentiques et la fiction n’occupe dans cet ouvrage qu’un maigre espace. Mais la fiction développée autour de ce personnage bien réel, témoin essentiel et privilégié d’une tragédie, permet d’embrasser totalement la réalité de la violence, de mesurer l’horreur dans sa dimension humaine, de poser toutes les questions.
De ce personnage tout à fait authentique et en dehors de sa fonction, on ne sait quasiment rien. L’auteur a imaginé que, dans les dernières années de sa vie, Fabricius entame la rédaction de ses mémoires et raconte les procès qu’il a vécus. Succèdent alors dans ses récits Marie-Antoinette, les Girondins, Danton, Marat, Mme Roland, Hébert, Bailly, Robespierre, Charlotte Corday, Philippe-Egalité, Carrier, Fouquier-Tinville, Olympe de Gouges, d’autres encore. L’ancien greffier ne prétend pas tout dire mais traduire ce qui l’a marqué ou impressionné, ses émotions, ses analyses, ses colères, ses regrets, ses espoirs, ses faiblesses, au cours des audiences et hors d’elles.
Les faits, circonstances et événements sur lesquels l’ancien greffier s’exprime sont, à de rares exceptions, parfaitement authentiques et la fiction n’occupe dans cet ouvrage qu’un maigre espace. Mais la fiction développée autour de ce personnage bien réel, témoin essentiel et privilégié d’une tragédie, permet d’embrasser totalement la réalité de la violence, de mesurer l’horreur dans sa dimension humaine, de poser toutes les questions.