L’expérience de deux fondateurs de sociétés (660 et 300 emplois) très profitables est sollicitée par un petit groupe de professionnels qui s’interrogent sur les bonifications possibles qui pourraient intervenir dans la relation entre la foi et le travail après la révolution du passage à l’Internet et au numérique, destructeur mais aussi créateur d’emplois nouveaux, le tout récemment perturbé par une pandémie ravageuse, qui n’en finit pas, interpelle sur la durabilité et la fiabilité de chemins jusque là connus et battus.
Les réflexions optimistes de ces entrepreneurs devraient intéresser les jeunes qui s’inquiètent pour leur avenir et pour 40 % de français qui n’ont pas trouvé de sens à leur vie et cherchent un emploi pour vivre avec Dieu dans l’unité d’une véritable communion de travail.
Sous quel pavillon naviguer : rouge de domination agressive ou jaune de joie paisible ?
Comment répartir son temps, pour trouver l’unité en soi, entre le travail et la famille ?
Les comportements proposés, se démarquant souvent de ceux de L'homo œconomicus actuel des entreprises, orienteront le travail vers la charité fraternelle, la solidarité, le partage, l’écoute, afin de diriger l’homme dans sa traversée de l’espace d’espérance pour arriver au but final, en courant peut-être à petites foulée : le salut de chacun et du Monde.