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Une
figure marquante de la spiritualité du XVIIe siècle |
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Nicolas Barré Pour une mystique de la vie ordinaire collectif |
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ISBN
9782364528048 format 130 x 210 200 pages prix public TTC 18 € |
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Le
texte A l’occasion du 4° centenaire de la naissance de Nicolas Barré (21 octobre 1621) s’est tenu un colloque
sur le thème « Nicolas Barré, pour une mystique de la vie ordinaire ». Cet ouvrage en est la publication.
De quoi s’agit-il quand on parle de mystique ? Dans le contexte du christianisme, et depuis les Pères de l’Église, il s’agit bien d’une dimension essentielle de l’existence des croyants, offerte à tous. Elle se vit en tension féconde entre la contemplation et l’action, l’oraison et l’engagement. Dans le contexte tourmenté du XVII° siècle, Nicolas Barré a proposé ce chemin, tant dans l’accompagnement spirituel de personnes éprouvées que dans l’inspiration du courant éducatif des Écoles Charitables du Saint Enfant Jésus. Éduquer, c’est humaniser, c’est diviniser l’humain. Les diverses approches de ce thème : historique, éducative, théologique, spirituelle, y compris d’un point de vue asiatique, sont autant de portes d’entrée sur la dimension mystique de l’existence, offerte à tous. Des textes de Nicolas Barré viennent confirmer les contributions des intervenants. Ont contribué à cet ouvrage – Père François Marxer « Nicolas Barré : Abandon et Providence » – Catherine Marin « Nicolas Barré, au coeur d’un siècle bouleversé» – Yuri Cecilia Kumagai « Dieu du basho : une possibilité de lecture japonaise de Nicolas Barré » – Sœur Emmanuelle Billoteau « Vie contemplative ; vie active : de l’opposition stérile à la tension créatrice » – Frère Jean-Louis Schneider « Le chemin de Léa : les Maîtresses Charitables à la rencontre de Dieu ». Nicolas Barré nait à Amiens en 1621. A 19 ans, il rejoint l’ordre des religieux Minimes de St François de Paule. Après son noviciat et ses études théologiques, il est envoyé au couvent de la Place Royale pour y être bibliothécaire, professeur et confesseur. Il connait une certaine célébrité, mais traverse bientôt une profonde crise spirituelle. Envoyé à Rouen, il y devient l’inspirateur d’un grand courant en faveur de l’éducation des enfants pauvres, offrant aux Maitresses des Ecoles Charitables une spiritualité toujours d’actualité. Il meurt à Paris le 31 mai 1686. |
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