LA DAME DE SOUDAY
Номер.: SLPl242Serge Quentin
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L’avant-veille de Noël 1483, Jean de Berthevin est assassiné à proximité de son manoir de la Cour à Souday, alors qu’il vient d’entendre la messe.
Sa jeune femme Renée, 23 ans, épousée alors qu’elle avait 16 ans, est poursuivie par une terrible rumeur qui lui attribue un amant, jeune et beau chevalier des environs. Il n’en faut pas plus pour le soupçonner.
L’intrigue, au-delà de l’enquête et des procédures, conduit à réfléchir sur la place de la femme dans la société du XVe siècle, avec pour corolaire, la jalousie, la trahison, les dénonciations, l’orgueil, la vanité, mais aussi le harcèlement et le viol, ancrés à l’Homme de toute époque.
Il va sans dire qu’il ne saurait y avoir de jugements sans peines, et que celles infligées au XVe sont le reflet d’une société qui peine à s’ouvrir sur celle de la Renaissance et de ses bouleversements.
L’auteur livre la description de cette société chevaleresque, féodale mais aussi populaire où maîtres et domestiques cohabitent, respectueux de la place de chacun. Il décrit sans fard, l’organisation judiciaire au sortir de la guerre de cent ans, en soulignant la violence des rapports humains, les décisions expéditives et pour clore l’acceptabilité de son sort.
Sa jeune femme Renée, 23 ans, épousée alors qu’elle avait 16 ans, est poursuivie par une terrible rumeur qui lui attribue un amant, jeune et beau chevalier des environs. Il n’en faut pas plus pour le soupçonner.
L’intrigue, au-delà de l’enquête et des procédures, conduit à réfléchir sur la place de la femme dans la société du XVe siècle, avec pour corolaire, la jalousie, la trahison, les dénonciations, l’orgueil, la vanité, mais aussi le harcèlement et le viol, ancrés à l’Homme de toute époque.
Il va sans dire qu’il ne saurait y avoir de jugements sans peines, et que celles infligées au XVe sont le reflet d’une société qui peine à s’ouvrir sur celle de la Renaissance et de ses bouleversements.
L’auteur livre la description de cette société chevaleresque, féodale mais aussi populaire où maîtres et domestiques cohabitent, respectueux de la place de chacun. Il décrit sans fard, l’organisation judiciaire au sortir de la guerre de cent ans, en soulignant la violence des rapports humains, les décisions expéditives et pour clore l’acceptabilité de son sort.