Livres
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BUISSONNANCES
Ce livre s'inscrit dans l'héritage immémorial du Cantique des Cantiques, et plus largement de la parole poétique du christianisme comme verbe de l'homme intérieur dont nous parle l’Apôtre Paul. À travers ces vers retentissent les sonorités mystérieuses d'une Présence à sens multiples. Ce livre est une invitation pour les lectrices et les lecteurs à percevoir des réalités invisibles qui nourrissent, au delà des apparences, leurs inconscients, à travers des épousailles-retrouvailles avec la beauté de nos origines. La parole poétique du christianisme prend alors toute son ampleur, celle d'exprimer l'inexprimable. Amour de la Beauté et Beauté de l'Amour sont le cœur de cet ouvrage qui nous invite à redécouvrir la grandeur nous habitant dans un monde qui se cherche.17,00 € -
C'EST DÉCIDÉ, CETTE NUIT J'ACCOMPAGNE NICODÈME - Que vaudrait la foi sans l'amitié avec Jésus ?
« J'aurais beau être prophète, avoir toute la science des mystères et toute la connaissance de Dieu et toute la foi à transporter les montagnes, s'il me manque l'Amour, je ne suis rien » (1Co 13, 2). Avant Saint Paul, Nicodème, maître en Israël, avait bien compris cela, puisqu'il s'est levé en pleine nuit pour se rendre chez Jésus. Osons le dire : par amitié !
Nicodème a pris sa lampe pour s'éclairer dans les ruelles sombres de la ville et comme les vierges prévoyantes des évangiles, sa lampe ne s'est pas éteinte. Car il avait dans son âme d'immenses réserves d'humilité... celle de savoir que sa connaissance et même sa foi étaient insuffisantes, non seulement pour lui... mais également pour Dieu !
Nicodème l’a compris qu'il lui fallait oser La Rencontre. La Rencontre personnelle avec Jésus. Et que dans sa liberté, lui seul pouvait le décider.
Aujourd'hui, cher lecteur, la décision t'appartient : laisseras-tu Jésus te dire, comme à ceux qui prétendaient être ses fidèles disciples et agir en son nom : "Je ne te connais pas ! " (Mathieu 7, 22)15,00 € -
CAP ORIENTATION
L'orientation, un mot qui suscite à la fois excitation et inquiétude ! Et cela autant chez les adolescents que chez leurs parents dès lors que le rétroplanning de Parcours Sup est entamé. Voilà une aide concrète et opérationnelle à leur disposition.
En effet, ce livre propose une méthodologie efficace pour mener une démarche d'orientation aboutie.
Dans un monde où certains métiers disparaissent et d’autres apparaissent, il est plus sûr d'apprendre à connaître sa personnalité et sa motivation que de chercher à tout prix un métier.
Ce guide donne des moyens simples, ludiques et à la portée de tous pour rechercher sa voie, y compris pour aider l’adolescent freiné dans ce but par son manque de confiance en soi.
Ces conseils, utilisés à bon escient, doivent permettre à ceux qui le veulent de s’investir pour ne pas subir mais choisir leur orientation.
Enfin, l'auteur recommande de miser sur quelques compétences incontournables. En effet, il est convaincu que la maîtrise trop souvent négligée du français (écrit et parlé), complétée par un bon relationnel et une dextérité dans l'utilisation de la micro-informatique, constituent un bagage "tout temps, tout vent" pour les plus fragiles.18,00 € -
CARDINAL BASIL HUME - UN PÉLERIN À LA RECHERCHE DE DIEU
Ce volume très à propos marque le vingtième anniversaire de la mort du cardinal Basil Hume (19231999), moine bénédictin à l'abbaye d'Ampleforth, archevêque de Westminster.
La spiritualité bénédictine de Hume et son engagement personnel dans la prière lui permit de s'identifier aux autres pèlerins qui cherchent le vrai Dieu vivant. Hume, le moine, le pasteur et le prédicateur, s'adresse toujours aux bénédictins, à l'Église en général et au monde contemporain. Même si, comme Hume l'a dit, "Dans notre vie publique, nous nous éloignons de plus en plus de Dieu et des choses de Dieu" ; il ajouta "je crois que l'aspiration à Dieu s'intensifie de plus en plus dans le cœur des hommes et des femmes".
Cette aspiration, comme le montre ce livre, était au cœur de la recherche de Dieu par Basil Hume : pour Hume, la voie du pèlerin.17,00 € -
CATASTROPHES NATURELLES EN TOURAINE
En Touraine, on retrouve les traces écrites d’une multitude de cataclysmes. Si un séisme fait trembler en 577 l'église Saint-Martin de Chinon, celui de Sainte-Maure le 15 février 1657 est signalé comme le plus important et trouve sa place dans un recensement mondial réalisé au XVIIIe siècle. Les conséquences humaines sont parfois dramatiques notamment lors de la crue de l'Indre à Cormery qui en 1770 fait 38 victimes ou l'éboulement de Port en 1880 qui ensevelit 30 personnes. Celle que l'on appelle "le Loire » à certaines époques, connaît trois crues centennales en 1846, 1856, 1866 et à la Chapelle-sur-Loire, le mercredi 4 juin 1856, le bourg disparaît entièrement. Ne restent debout que l'église et quelques maisons à chaque extrémité, les murs du cimetière sont écroulés, les tombes brisées laissent les corps et leurs débris à la cime des arbres, cinquante-deux maisons sont détruites. Vous pourrez aussi vous forger une opinion sur l'affirmation de certains historiens qui prétendent que la Vienne se jette dans la Loire à Saumur. Le froid surprend aussi les paysans et les animaux et les oreilles d'un chat à Genillé peuvent même tomber. Sur le porche de l'église de la Ville-aux-Dames, on en fait mention dans le tuffeau en gravant "le grand iver 1709", mais l'on peut jouer aussi une partie de cartes sur la Loire gelée en 1891… L'orage du 13 juillet qui a pris naissance dans le Lochois, pourrait être à l'origine des événement de 1789 selon certains historiens et cinquante années plus tard, les conséquences psychologiques sont importantes lors de l'orage de 1839. En effet, on voit des mères frappées de vertiges voulant précipiter leur enfants à l'eau. A Azaysur- Cher, un nommé Ribaudeau, fermier de Saint-Jean-du-Grais, est frappé d'aliénation mentale ; un jeune homme de vingt-quatre ans met fin à ses jours avec une arme à feu et lors de la crue de 1856 une femme ne veut plus, durant trois semaines, s'occuper de ses enfants. Au fil des siècles, que de fléaux pour la tranquille Touraine d'aujourd'hui. Mais demain serat- il plus serein ?
22,00 € -
CATÉCHISTES
« Karem-saamba », en langue moore (une des langues les plus parlée au Burkina Faso) pourrait se traduire en français par « Catéchiste ». Si, dans les phases successives qui ont marqué les différentes étapes de l’évangélisation, la figure du catéchiste a souvent accompagné celle des grands missionnaires, on peut se demander si elle revêt aujourd’hui quelque importance. Aujourd’hui encore, l’Église n’at- elle pas besoin de catéchistes qui se dévouent non pas simplement à faire du catéchisme, mais surtout à proclamer le Christ et à évangéliser les périphéries, comme nous y exhorte le Pape François par la parole et par l’exemple ?
La trame narrative de ce livre se déploie dans le contexte de la célébration de deux centenaires: il y a cent ans les premiers catéchistes étaient envoyés en mission dans nos Églises. C’est aussi le centenaire de la naissance de Monseigneur Dieudonné Yougbaré, de vénérée mémoire. Prêtre éminemment vertueux et exemplaire, il fut Évêque de Koupela, premier évêque résidentiel d’Afrique Noire francophone et fondateur d’une des premières écoles de catéchistes de la région.
Ce livre qui lui est dédié relate la vocation, le ministère et la vie passionnante, racontés par lui-même, d’un catéchiste qui s’est dévoué pour fonder des communautés chrétiennes dans les périphéries des villages perdus dans la savane africaine. Il voudrait aussi rendre hommage à la multitude de catéchistes qui dans les périphéries du monde ne cessent d’éduquer leurs frères et sœurs dans la foi.20,00 € -
CELUI QUI T'A CRÉÉ T'A RECRÉÉ
Les mystères de la mort et de la résurrection du Christ sont le fondement de la foi chrétienne : « Si le Christ n’est pas ressuscité vaine est votre foi » (1 Co 15, 17) dira saint Paul.
Or, pour saint Augustin la passion et la mort du Christ sur la croix ne se réduisent pas exclusivement aux événements eux-mêmes. Il nous faut connaître leur sens, leur pourquoi. En effet, Saint Augustin après avoir exposé les multiples souffrances du Christ sur la croix se pose la question sur le sens de ces souffrances. À plusieurs reprises il se demande « pour quoi » tant de souffrances. En effet, chaque fois que la souffrance nous prend, plus que le remède à ces souffrances nous nous questionnons sur leur sens et, quand nous arrivons à connaître le sens de notre souffrance, dans une certaine mesure, nous la supportons mieux, l’angoisse et l’inquiétude disparaissent et nous commençons à vivre avec espérance. Il n’y a pas de souffrance corporelle ou spirituelle qui ne nous pousse pas à nous poser la question de son « pour quoi ». « S’il y avait quelqu’un au-dessus de nous, il mériterait d’être puni ». Cette imprécation désespérée résume tout le scandale de notre monde en face de la souffrance et du mal. Personne dans sa vie n’échappe au rendez-vous du mal. Le monde nous propose des solutions, des apaisements théoriques, des révoltes devant l’absurde ou la fuite. Pour le chrétien, si Dieu a voulu ce monde, le scandale de l’existence du mal redouble notre incompréhension, et l’on doit récuser toutes les réponses. Alors pourquoi ? Pourquoi le mal ?
Et qu’est-ce qui à la fin sera plus fort que lui ? Ce livre n’apporte pas de recettes mais le sel qui les élève toutes à la hauteur de la Joie.17,00 € -
CET AMOUR INCONNU D'OÙ MONTE LA PAROLE
Ce recueil poétique dévoile une dimension essentielle de la parole humaine qui ne consiste pas à dire mais à faire entendre la force de présence des choses les plus humbles dans leur ouverture sur la transcendance. Tel est l’enjeu d’une « poétique de la Présence » où « parler n’est pas représentation mais mise en présence de la Vie». La poésie prête voix à ce qu’il y a de plus originel et d’ultime : la Vie en tant que Présence absolue qui est l’Amour même.
J’ai cherché un verbe qui laisse parler les nuances infinies de la Vie. Un verbe où respire la voix musicale des choses, où vibre le vol de l’oiseau, où murmure l’imperceptible mouvement que font les fleurs en s’ouvrant aux premiers rayons du soleil, où tinte sans bruit l’écume qui expire entre deux vagues à l’unisson avec la mouette reprenant son souffle entre deux cris. J’ai cherché un verbe qui n’exclut rien, familier de la nuit, capable de veiller au chevet de celui qui meurt seul. Un verbe toujours vivant comme l’enfance, qui console la douleur et ne blesse jamais le silence. L’écriture est ici la trace d’un contact avec le mystère d’un Amour ineffable d’où monte la parole poétique.17,00 €