AU PAYS DES ARBRES ET DES HIRONDELLES
Réf.: SLPl56frère Servan osb
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Né en 1936, le Frère Servan est entré jeune au monastère de la Pierre-qui- Vire, dans les collines boisées du Morvan : terre pauvre et austère mais non sans beautés, patrie des arbres et des fougères, des rochers et des eaux jaillissantes.
Pour la plupart, ces « poèmes-instants de vie », où le cycle de la liturgie chrétienne se mêle au rythme des saisons, ont été écrits au temps d'un jubilé, aux débuts du troisième millénaire : temps favorable pour respirer, remercier, offrir et partager… avant de poursuivre la route.
En harmonie avec Laudato si, la lettre récente du pape François, ils nous redisent la communion profonde de l'homme avec son environnement.
Ce ne sont pas que de « gentils » poèmes, célébrant naïvement « les arbres, les fleurs et les petits oiseaux ». Sans négliger l'humour ni le jeu dans la forêt des mots, ni les sourires de l'amitié... ils nous parlent de nos chemins de vie, de nos combats, à travers les aléas de nos saisons; de nos coeurs et de la création en souffrance, en espérance.
Bien au-delà de la paix fragile et limitée du monastère de Benoît « au pays des arbres et des hirondelles »... ils nous invitent à désirer la paix de Jérusalem « débordante comme un fleuve » : Tu parviendras !
Pour la plupart, ces « poèmes-instants de vie », où le cycle de la liturgie chrétienne se mêle au rythme des saisons, ont été écrits au temps d'un jubilé, aux débuts du troisième millénaire : temps favorable pour respirer, remercier, offrir et partager… avant de poursuivre la route.
En harmonie avec Laudato si, la lettre récente du pape François, ils nous redisent la communion profonde de l'homme avec son environnement.
Ce ne sont pas que de « gentils » poèmes, célébrant naïvement « les arbres, les fleurs et les petits oiseaux ». Sans négliger l'humour ni le jeu dans la forêt des mots, ni les sourires de l'amitié... ils nous parlent de nos chemins de vie, de nos combats, à travers les aléas de nos saisons; de nos coeurs et de la création en souffrance, en espérance.
Bien au-delà de la paix fragile et limitée du monastère de Benoît « au pays des arbres et des hirondelles »... ils nous invitent à désirer la paix de Jérusalem « débordante comme un fleuve » : Tu parviendras !