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Offre spéciale

  • L'INTEGRALE DE LA CORRESPONDANCE DE PIERRE LE VÉNÉRABLE

    TOME 1 : L’amitié à l’épreuve de la diversité

    On a trop souvent réduit les relations du IXe abbé de Cluny avec saint Bernard à la polémique qui a opposé au XIIe siècle les bénédictins aux cisterciens, témoins du « nouveau monachisme ». En réalité les deux hommes ont connu une profonde et authentique amitié qui s’est fortifiée et purifiée à travers ces tensions mêmes, voire ces réelles divergences. Les deux plus longues lettres de cette correspondance sont en fait de véritables traités spirituels où Pierre le Vénérable expose son herméneutique de la Règle et donc de tout texte considéré comme inspiré. Au fil des pages, le lecteur découvrira également quantité de détails historiques sur la vie des moines au Moyen Age, période de renouveau du charisme monastique et sur la chrétienté de l’époque. Au-delà, ces lettres retracent l’évolution d’une relation qui a su devenir de plus en plus fraternelle en assumant la franche diversité de ces deux hommes de Dieu.


    TOME 2 : Le souci de tous mes frères

    Après avoir présenté, dans un premier tome intitulé " L’amitié à l’épreuve de la diversité, correspondance de Pierre le Vénérable et de Bernard de Clairvaux " la correspondance de Pierre le Vénérable et de Bernard de Clairvaux, le Père Vuillaume osb offre ici au lecteur un deuxième recueil de lettres du célèbre Abbé de Cluny. Si leurs destinataires en sont nettement moins connus, elles n’en présentent pas moins un intérêt de premier plan pour mieux connaître la personnalité, à bien des titres remarquable, de Pierre le Vénérable et compléter ce que l’on sait déjà du milieu monastique et ecclésial du 12e siècle dans lequel il a vécu, puisqu’il s’agit de sa correspondance avec les moines et moniales de son temps : bénédictins et cisterciens, mais aussi chartreux, sans oublier la célèbre abbesse Héloïse. Ces lettres regroupées en huit sections correspondent à chaque fois à un groupe homogène de correspondants ou à un destinataire particulier.
    Au-delà de l’aspect historique, les moines et les moniales y sentiront vibrer un cœur, méditer un esprit, s’exprimer une langue et une main qui, en fin de compte, ne sont pas si étrangers ou éloignés de ce qu’ils peuvent vivre, en profondeur, en ce début de XXIe siècle. Pour apprécier les auteurs anciens, il faut en effet savoir se laisser dépayser, comme on le ferait en visitant un autre pays, où l’on retrouve cependant la même humanité, appelée à la même destinée.


    TOME 3 : Cette Église qui vous est confiée

    La correspondance de Pierre le Vénérable avec les trois papes qu’il a connus et avec une vingtaine d’évêques est d’abord une page d’histoire de l’Église et de la papauté de première main qui n’avait jamais été traduite intégralement. Loin de tout formalisme, Pierre sait entretenir, même avec les pontifes romains, une relation certes emprunte de déférence, mais toujours vraie, directe, cohérente avec leurs responsabilités respectives. Sa correspondance avec les évêques est plus nuancée, car un certain nombre d’entre eux sont d’anciens clunisiens et parfois de véritables amis. Avec ces derniers, on retrouve le ton qu’il employait avec saint Bernard, franc et toujours juste. Avec les autres, il intervient souvent pour défendre la cause de Cluny face aux attaques auxquelles se livre une partie du haut clergé contre la célèbre congrégation, parfois jugée quelque peu suffisante. Mais ces lettres témoignent avant tout du sens très élevé de l’Église qui habite le cœur de Pierre le Vénérable et de la conscience de sa responsabilité pastorale, quitte à la rappeler aux plus hauts dignitaires: «Cette Église que Dieu vous a confiée... » : un rappel qu’aucun chrétien ne saurait négliger, surtout de nos jours.


    TOME 4 : Pour votre salut éternel

    Après avoir présenté, dans un premier tome intitulé " L’amitié à l’épreuve de la diversité, correspondance de Pierre le Vénérable et de Bernard de Clairvaux " la correspondance de Pierre le Vénérable et de Bernard de Clairvaux, le Père Vuillaume osb offre ici au lecteur un deuxième recueil de lettres du célèbre Abbé de Cluny. Si leurs destinataires en sont nettement moins connus, elles n’en présentent pas moins un intérêt de premier plan pour mieux connaître la personnalité, à bien des titres remarquable, de Pierre le Vénérable et compléter ce que l’on sait déjà du milieu monastique et ecclésial du 12e siècle dans lequel il a vécu, puisqu’il s’agit de sa correspondance avec les moines et moniales de son temps : bénédictins et cisterciens, mais aussi chartreux, sans oublier la célèbre abbesse Héloïse. Ces lettres regroupées en huit sections correspondent à chaque fois à un groupe homogène de correspondants ou à un destinataire particulier.
    Au-delà de l’aspect historique, les moines et les moniales y sentiront vibrer un cœur, méditer un esprit, s’exprimer une langue et une main qui, en fin de compte, ne sont pas si étrangers ou éloignés de ce qu’ils peuvent vivre, en profondeur, en ce début de XXIe siècle. Pour apprécier les auteurs anciens, il faut en effet savoir se laisser dépayser, comme on le ferait en visitant un autre pays, où l’on retrouve cependant la même humanité, appelée à la même destinée.

    Prix promo 58,50 € Prix normal 76,00 €
  • DOM MARMION - LA TRILOGIE




    La Trilogie Béatifié le 3 septembre 2000 par Jean-Paul II, Dom Columba Marmion fut Abbé de l’abbaye bénédictine de Maredsous (Belgique) de 1909 à 1923. Avec l’aide de son Secrétaire, Dom Thibault, il publia entre 1917 et 1920, trois recueils des Conférences qu’il donnait régulièrement à ses moines, aux moniales bénédictines de Maredret et pour des retraites de membres du clergé ou de laïcs.
    Ces conférences, fortement structurées autour de la personne de Jésus-Christ, ont aidé de nombreux chrétiens à se recentrer sur l’essentiel de leur foi pour tenter de mieux en vivre. La plupart des Pères du Concile Vatican II avaient lu, lors de leur formation, les œuvres du Bienheureux Columba Marmion de Maredsous (1858-1923). Le Centenaire de son décès (23 janvier 2023) est une occasion de découvrir ou de relire ces pages qui rappellent avec force comment vivre en enfant adoptif d’un Père aimant, en frère de Jésus, le Christ, d ans l’Esprit d’Amour du Père et du Fils.

    Prix promo 50,00 € Prix normal 66,00 €
  • PAUL DE TARSE - LA TRILOGIE



    Les Épîtres de Paul commentées

    L’apôtre Paul en tant que premier penseur du mouvement chrétien est notre maître à tous. Les commentaires s’attachent autant à la forme qu’au fond de ce qui est dit. On s’y émerveille du style, de la finesse psychologique et de l’art rhétorique avec lequel Paul expose, argumente et défend son Évangile. En prenant tout le corpus des quatorze lettres, l’étude montre aussi les liens qui unissent les lettres entre elles. Paul, par sa correspondance, est devenu un courant de pensée qui a fait école. Tout lecteur devient son disciple et apprend à prier sans cesse, à rendre grâce en toute circonstance, à vivre dans la joie de la foi, avec une charité non feinte et une lucidité, formée par l’écoute assidue de la Parole de Dieu. Avec Paul il lui sera donné d’espérer contre tout espérance, et de supporter tout en Celui qui, par amour, s’est livré pour lui.

    Prix promo 45,00 € Prix normal 64,00 €
  • LEÇONS MORALES TIRÉES DU LIVRE DE JOB - La trilogie

    Ce long commentaire, en trente-cinq livres, d’un des plus étonnants récits bibliques, n’est pas un exercice intellectuel, une recherche précise et rigoureuse, mais tout aussi impersonnelle du sens de chaque verset : le pape saint Grégoire le Grand (540-604) a d’abord été moine et c’est une approche toute monastique de cette page de la Bible qu’il nous propose.
    Le texte y est non seulement lu, médité, mais encore goûté et savouré, comme on le fait au cours de la lectio divina, pour prolonger la réflexion en prière, nous élever à la contemplation de Celui de qui tout vient et à qui tout retourne. S’agissant de Job, le mystère du mal, de la souffrance de l’innocent, celle de l’homme, embrassée par celle du Christ, y tient évidemment une place importante, mais non pas centrale. Grégoire quitte assez vite son rigoureux plan des débuts, soumis aux procédés alors en vigueur : exégèse littérale (historique), allégorique, puis morale, pour ouvrir très largement l’horizon de sa méditation.
    C’est dire que ce commentaire contient une foisonnante richesse doctrinale, spirituelle et psychologique, toujours puisée à l’Écriture elle-même. Ainsi, à côté de certains développements dogmatiques, Grégoire n’hésite pas à se lancer dans de très hautes réflexions qu’on peut qualifier de mystiques. On trouvera dans ce commentaire certaines descriptions très précises, d’ailleurs non dénuées d’humour, des travers de ceux qui se croient supérieurs, y compris dans l’Église qu’il qualifie toujours de « sainte ». On appréciera aussi les analyses psychologiques et sociales auxquelles Grégoire se livre à la recherche d’une conversion toujours plus intégrale.
    Ce commentaire destiné au départ à un très petit auditoire, a connu en réalité un remarquable rayonnement tout au long du Moyen Âge et bien au-delà des monastères. L’œuvre de saint Grégoire a, en effet, été considérée comme une véritable somme au point que, cité comme une référence en matière de doctrine, d’exégèse (selon les normes de son temps) et de morale, le grand pape est aussi compté au rang des docteurs de l’Église.
    C’est dire que la réflexion inspirée de Grégoire le Grand, fût-elle vieille de quinze siècles, n’a pas fini d’accompagner la méditation des générations de croyants qui se succèdent, en particulier sur des problèmes aussi centraux et tellement actuels que l’origine du mal et surtout du sens de la souffrance, à la lumière de toute la Révélation chrétienne. Cette nouvelle édition présente pour la première fois le texte des Moralia dans son texte intégral en français contemporain.
    Présentation et traduction : P. Christophe Vuillaume est né à Nancy en 1954 ; maître ès Lettres, il est profès de l’Abbaye de La Pierre-qui- Vire et prêtre et a été Procureur Général de la Congrégation bénédictine de Subiaco-Mont-Cassin. Il enseigne actuellement la tradition monastique et la théologie spirituelle au Monastère bénédictin de Mahitsy (Madagascar). Il a rédigé de nombreux articles dans plusieurs revues monastiques internationales et a traduit une dizaine d’ouvrages patristiques dans la collection Sources chrétiennes, et pour les éditions Saint Léger, dans les collections Chemins de saint Benoît, Arsis et Manne des Pères.

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  • AIMER LA VIE

    « Quel est l’homme qui aime la vie et désire voir des jours heureux ? » Cette question du Psaume autour de laquelle gravite une large part du prologue de la Règle de saint Benoît, résume son propos. La « toute petite règle pour débutants » est un chemin de vie qui se veut accessible à tous. Elle ne se présente pas comme un programme de perfection, ne satisfera pas la quête d’un idéal ascétique. Saint Benoît veut aider son disciple à « vivre », et à vivre vraiment. Pour lui, comme pour saint Paul, « vivre, c’est le Christ » (Ph 1,21). Sa Règle est une pédagogie de la Vie. Tout ce qu’il y prescrit devra y concourir.

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  • ACCUEILLIR, S'ENGAGER, S'OUVRIR À L'AUTRE

    Tout groupe humain, pour vivre, doit s’ouvrir aux autres et se renouveler. Saint Benoît veut que sa communauté soit clairement orientée vers son objectif propre, « chercher Dieu », mais aussi largement ouverte vers ceux du dehors. Elle accueillera comme le Christ toute personne, connue ou inconnue, sans distinction d’origine ni de rang social, la recevra avec égard, en respectant sa liberté et son individualité propre, sans chercher à la retenir.
    À notre époque d’échanges culturels intenses et de mutations sociales, quand se déplacent des populations entières et que l’Europe est appelée à intégrer la foule des migrants, les conseils de la Règle revêtent, pour qui veut bien les comprendre, une brûlante actualité.
    La communauté bénédictine se situe aux antipodes de la secte, milieu clos, qui attire à lui par la ruse. L’appât d’un prétendu privilège enferme pour exclure. Une existence libérée de soi, au contraire, ouvre à la communion avec tous. La secte étouffe et mène à la mort ; saint Benoît veut conduire ses disciples à la Vie véritable. À son école, le chrétien d’aujourd’hui, loin de tout repli identitaire, reste invité à se convertir en accueillant les différences et en témoignant d’un Dieu proche qui aime tous les hommes.

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  • LES HÔTES ILLUSTRES DE SOLESMES

    « Capitale » internationale de l'ordre bénédictin, l'abbaye de Solesmes attire tout naturellement des visiteurs du monde entier, croyants ou non. L'aspect touristique n'est pas, non plus, à négliger. Le bâtiment ne laisse personne indifférent et le cadre, dans une verdoyante vallée arrosée par la Sarthe, est une pure merveille.
    Dans ces conditions, il est tout à fait naturel d'y croiser régulièrement des personnalités de tous bords, présentes par pure curiosité, portées par une foi intense, voire déchirante, ou réellement à la recherche d'une certaine forme d'apaisement, presque thérapeutique.
    Leur passage a souvent été un véritable événement dans leur existence, exceptionnel au point d'être relevé par leurs biographes.
    Y sont passées des célébrités aussi diverses que Nougaro ou Gary Cooper, Picasso ou Albert Camus, Pompidou ou Chirac, Debussy ou Poulenc, l'impératrice d'Autriche Zita ou Anne-Aymone Giscard d'Estaing, Mauriac ou Littré, sans parler des papes Urbain II ou Jean XXIII...
    Ce livre porte un regard totalement différent sur ce haut lieu de la chrétienté, au-delà de la traditionnelle spiritualité, un regard profondément humain, où la psychologie joue un rôle parfois puissant.

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  • VIVRE EN FRÈRES

    Vivre en frères est un art. La caractéristique de l’art est d’unir le sensible et le spirituel. L’entreprise, laborieuse, n’ignore pas les fléchissements, voire les échecs. Saint Benoît ne craint pas de le reconnaître et d’en identifier les causes, mais il montre surtout comment y remédier.
    Bons désirs et humble réalisme ne suffisent pas pour vivre ensemble. Il y faut aussi le socle d’une structure objective. L’organisation prévue par saint Benoît repose toujours sur les valeurs de l’Évangile : liberté, égalité, fraternité, respect et affection mutuels ! Là se conjuguent les caractéristiques d’une oeuvre d’art toujours en cours de réalisation. Quinze siècles après saint Benoît, les moines restent appelés à y contribuer. Non pas eux seulement mais, avec eux, tous les croyants et tous les hommes de bonne volonté.

    Prix promo 5,90 € Prix normal 8,00 €