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  • SENS ET ÉTHIQUE DU DÉVELOPPEMENT

    La pauvreté est un crime. L’état d’indigence qui en d coule plonge dans une anxiété permanente et destructrice. Le pauvre souffre et vit toujours dans la peur du lendemain. Les privations alimentent son stress de façon permanente.
    Pour réduire sensiblement la progression du fait de pauvreté, les actions doivent être menées collectivement et en fonction des choix de vie librement établis. Les critères mathématiques, objectifs, ne peuvent pas à eux seuls permettre d’identifier le pauvre. Au terme d’une approche holistique, plus contextuelle et individualiste, il pourra être envisagé de sortir le pauvre de sa détresse mortifère.
    Les handicaps sont aussi des obstacles majeurs qui plongent certains individus dans l’incapacité d’action. Il devient alors nécessaire d’en tenir compte dans les critères d’évaluation de la pauvreté. Ensuite, l’action collective d’assistance au pauvre peut se prévaloir de la conscience universelle et morale, et justifier le droit d’ingérence. En revanche, l’inaction ou la non-assistance à une personne en état d’extrême pauvreté devrait être codifiée et être juridiquement sanctionnée.

    20,00 €
  • DES PROFONDEURS DE L'ÊTRE Marie-Magdeleine Davy Itinéraire d’une philosophe absolue

    Marie-Magdeleine Davy (1903-1998) était philosophe, écrivain et maître de recherche au CNRS. Elle confia ses plus riches pensées à d’innombrables écrits publiés pendant plus d’un demi-siècle. On y croise les figures essentielles de sa méditation : Guillaume de Saint-Thierry, Nicolas Berdiaev, Louis Massignon, Gabriel Marcel, Roger Godel, Henry Corbin, Simone Weil, Henri Le Saux, et tant d’autres. Esprit indépendant et non conventionnel, éternelle voyageuse en quête de l’Absolu, Marie-Magdeleine Davy aura été, pour beaucoup d’Européens, un témoin de la dimension de profondeur que tout être porte en lui.

    24,00 €
  • L'ATTENTAT CONTRE BONAPARTE Rue saint-Nicaise 24 décembre 1800

    L’attentat de la rue Saint-Nicaise, perpétré le 3 nivôse an IX (mercredi 24 décembre 1800) contre le Premier Consul Bonaparte, s’il a été souvent évoqué, n’a jamais fait l’objet d’une étude exhaustive. Trois raisons permettent de le regretter. D’abord, en dehors de la personne de Bonaparte, il a eu pour but de provoquer, sans discrimination, le plus grand nombre de morts, blessures et dégâts, et donc de frapper les consciences à propos d’une situation politique et religieuse. Avec de tels caractères, cet attentat apparaît alors comme le premier attentat terroriste – dans son acception moderne de l’Histoire de France. Ensuite, il existe une distance entre la vérité judiciaire et la vérité ordinaire. Si certains faits avaient été mis en lumière au cours du procès, une tout autre sentence pénale aurait été probablement rendue à l’égard de certains et, peut-être, des personnes non incriminées auraient été poursuivies. Enfin, c’est une enquête très moderne, basée sur des techniques scientifiques, qui a été conduite par la police à la suite de ce crime odieux, sans doute pour la première fois.
    Cet essai captivant et nouveau décrit dans le détail la préparation et l’exécution de l’attentat, rapporte et analyse les débats politiques internes (dont certains ont eu un écho dans les délibérations consécutives aux attentats qui ont frappé la France ces dernières années) et mesures de répression qu’il a suscitées, retrace l’enquête de police et le procès qui ont suivi, dresse le portrait des protagonistes les plus importants, pose les questions qui ne l’ont pas été à l’époque et esquisse les réponses que suscitent toutes les interrogations, cerne la part de vérité ordinaire que ne recouvre pas la vérité judiciaire.

    28,00 €
  • SAINTE MARIE SKOBTSOVA 1891-1945 - Moniale russe à Paris - Martyre de Ravensbrück

    Enfant précoce, Liza Pilenko rencontre « comme un ami » le procureur du Saint-Synode. Adolescente, à 15 ans elle donne des cours aux ouvriers. Elle étudie la théologie. À 28 ans, elle devient en Russie la première femme maire d’une petite ville en pleine tourmente révolutionnaire. Arrêtée, elle rencontre parmi les juges celui qui deviendra son 2ème mari, Danilo Skobtsov, Cosaque du Kouban.
    Dans le flot des réfugiés russes, elle arrive à Paris et elle s’investit de plus en plus complètement dans l’aide à ses compatriotes perdus dans ce nouveau contexte.
    En 1940, avec ses amis de l’Action Orthodoxe et son fils Youri, elle se porte au secours des Juifs persécutés. L’héroïque jeune prêtre Dimitri Klépinine leur fournit des certificats de membre de la paroisse, et elle leur trouve des relais pour l’évasion. Apprenant la rafle du Vel’d’hiv’, elle s’y rend aussitôt et parviendra à sauver de la déportation quatre petits enfants. Arrêtée, elle connaît le fort de Romainville puis le camp de Ravensbrück où elle sera un refuge et une consolation pour beaucoup. Elle meurt gazée le Vendredi Saint 31 mars 1945, ayant accompli jusqu’au bout son service apostolique dans « le désert des cœurs humains ».
    Mère Marie, par son amour actif porté jusqu'au don total de soi, Mère Marie qui n’a jamais cessé de s’interroger sur toutes les implications du « sacrement du frère » à côté du « sacrement de l’autel », est plus actuelle que jamais..

    20,00 €