LA CROIX ET LE COMPAS
Réf.: SLPl221Yohan Picquart et Jean-Marie Lupart
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Le monde moderne est marqué par une guerre idéologique entre ces deux entités. Il existe beaucoup d’ouvrages maçonniques qui « diabolisent » l’Église, ou les églises, et beaucoup d’ouvrages catholiques, depuis le plus haut niveau de la papauté, qui diabolisent la Franc- Maçonnerie. L’imaginaire de nos contemporains reste hanté par l’idée d’un complot maçonnique mondial. Notre tradition républicaine a souvent été marquée par un anticléricalisme prononcé, souvent né dans les loges.
Jusque là, il n’y avait entre la Franc-Maçonnerie et l’Église presque que des anathèmes. Quelques esquisses de dialogue avec la maçonnerie anglo-saxonne, jugée « un peu » plus fréquentable, car déiste, mais aucun échange officiel avec la maçonnerie continentale, considérée comme athée, anticléricale voire anti-théiste, dont le Grand Orient est un des représentants les plus emblématiques. Il suffit de lire les nombreux textes pontificaux consacrés à la question pour s’en convaincre. Un seul ouvrage de dialogue a existé, entre Jean Baylot et le prêtre jésuite Michel Riquet. Ce dernier a alors « osé » s’aventurer à dialoguer avec un initié parce qu’il s’agissait d’un représentant de la maçonnerie anglosaxonne (et donc déiste).
L’originalité du présent livre est d’aller bien plus loin en établissant un dialogue avec un homme qui a été membre d’un des Suprêmes Conseil Universels, c’està- dire d’une des instances dirigeantes de cette maçonnerie continentale.
Sans prétendre à l’exhaustivité, l’objectif de cet ouvrage est d’apporter une contribution complémentaire à la compréhension de la question maçonnique pour un chrétien et de la question chrétienne pour un maçon, sous l’angle d’un dialogue bienveillant, dans lequel l’humour et la bonne humeur ne sont pas absents.
Jusque là, il n’y avait entre la Franc-Maçonnerie et l’Église presque que des anathèmes. Quelques esquisses de dialogue avec la maçonnerie anglo-saxonne, jugée « un peu » plus fréquentable, car déiste, mais aucun échange officiel avec la maçonnerie continentale, considérée comme athée, anticléricale voire anti-théiste, dont le Grand Orient est un des représentants les plus emblématiques. Il suffit de lire les nombreux textes pontificaux consacrés à la question pour s’en convaincre. Un seul ouvrage de dialogue a existé, entre Jean Baylot et le prêtre jésuite Michel Riquet. Ce dernier a alors « osé » s’aventurer à dialoguer avec un initié parce qu’il s’agissait d’un représentant de la maçonnerie anglosaxonne (et donc déiste).
L’originalité du présent livre est d’aller bien plus loin en établissant un dialogue avec un homme qui a été membre d’un des Suprêmes Conseil Universels, c’està- dire d’une des instances dirigeantes de cette maçonnerie continentale.
Sans prétendre à l’exhaustivité, l’objectif de cet ouvrage est d’apporter une contribution complémentaire à la compréhension de la question maçonnique pour un chrétien et de la question chrétienne pour un maçon, sous l’angle d’un dialogue bienveillant, dans lequel l’humour et la bonne humeur ne sont pas absents.