DIEU AU CAFÉ PHILO Penser autrement la philosophie
Номер.: SLPl535Yohan Picquart,
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Sans prétendre à l'exhaustivité, ce livre
propose au lecteur, une initiation, une vue
d'ensemble de l'Histoire de la philosophie,
depuis les temps les plus anciens jusqu'à
nos jours, à la lumière de la Foi.
Dans ses célèbres Pensées, Blaise Pascal a écrit « L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature; mais c’est un roseau pensant. Une vapeur, une goutte d’eau, suffisent pour le tuer. Mais, quand l’univers l’écraserait, l’homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce que lui sait qu’il meurt. Toute notre dignité consiste donc en la pensée. Travaillons donc à bien penser : voilà le principe de toutes choses.» Selon celui qui est incontestablement un des plus grands noms de la Philosophie, l'homme, tiraillé entre son infirmité et immensité du monde, n'aurait pour seul outil réel que son esprit. Il est, par conséquent, devant une exigence terrible : celle d'en faire bon usage.
Les civilisations les plus éloignées dans le temps et l'espace semblent attester de cette « quête de sens » et de cette activité rationnelle, généralement définie comme la faculté propre à l'homme, par laquelle il peut connaître, juger et se conduire selon des principes. Et il va sans dire que l'homme préhistorique lui même savait user de sa raison et donner du sens à chacune de ses actions.
L'apparition des grands monothéismes a, dans certains domaines, représenté une évolution considérable dans le rapport de l'humanité aux grandes questions rationnelles et existentielles.
Comprendre le monde dans lequel l'existence humaine va se dérouler (théoria, la contemplation du monde), la question fondamentale de l'éthique (qu’est-ce qu'une vie bonne ?), et la question de la finalité : ces grands fondamentaux de la philosophie ont, à travers les grands monothéismes, pris une dimension nouvelle.
La plupart des grandes religions ont condamné un fidéisme aveugle (une religiosité qui ferait abstraction de toutes intelligence), tout en condamnant parallèlement une « raison raisonnante » qui, se justifiant elle même, est capable des pires impasses, des pires contradictions, voire des pires monstruosités.
S'il existe de fait une philosophie « irréligieuse », voire antireligieuse, nous verrons au cours de cet ouvrage que la philosophie, non seulement a pu parfaitement s'accorder au fil des siècles avec la quête religieuse de l'Homme, mais également devenir un outil intellectuel au service de la foi et de la théologie, voire un outil philosophique contre les philosophies irreligieuses.
Dans ses célèbres Pensées, Blaise Pascal a écrit « L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature; mais c’est un roseau pensant. Une vapeur, une goutte d’eau, suffisent pour le tuer. Mais, quand l’univers l’écraserait, l’homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce que lui sait qu’il meurt. Toute notre dignité consiste donc en la pensée. Travaillons donc à bien penser : voilà le principe de toutes choses.» Selon celui qui est incontestablement un des plus grands noms de la Philosophie, l'homme, tiraillé entre son infirmité et immensité du monde, n'aurait pour seul outil réel que son esprit. Il est, par conséquent, devant une exigence terrible : celle d'en faire bon usage.
Les civilisations les plus éloignées dans le temps et l'espace semblent attester de cette « quête de sens » et de cette activité rationnelle, généralement définie comme la faculté propre à l'homme, par laquelle il peut connaître, juger et se conduire selon des principes. Et il va sans dire que l'homme préhistorique lui même savait user de sa raison et donner du sens à chacune de ses actions.
L'apparition des grands monothéismes a, dans certains domaines, représenté une évolution considérable dans le rapport de l'humanité aux grandes questions rationnelles et existentielles.
Comprendre le monde dans lequel l'existence humaine va se dérouler (théoria, la contemplation du monde), la question fondamentale de l'éthique (qu’est-ce qu'une vie bonne ?), et la question de la finalité : ces grands fondamentaux de la philosophie ont, à travers les grands monothéismes, pris une dimension nouvelle.
La plupart des grandes religions ont condamné un fidéisme aveugle (une religiosité qui ferait abstraction de toutes intelligence), tout en condamnant parallèlement une « raison raisonnante » qui, se justifiant elle même, est capable des pires impasses, des pires contradictions, voire des pires monstruosités.
S'il existe de fait une philosophie « irréligieuse », voire antireligieuse, nous verrons au cours de cet ouvrage que la philosophie, non seulement a pu parfaitement s'accorder au fil des siècles avec la quête religieuse de l'Homme, mais également devenir un outil intellectuel au service de la foi et de la théologie, voire un outil philosophique contre les philosophies irreligieuses.