DIEU A DISPOSÉ DES ASCENSIONS DANS NOTRE CŒUR
Ref.: SLPl704Jaime García Alvarez osa
Verfügbarkeit:
Verfügbar
Nicht auf Lager
Aktionspreis: 20,00 €
Normalpreis : 20,00 €
Notre vie est un chemin et nous devons tous le parcourir : il va de la naissance à la mort. Et le terme de notre
pèlerinage est Dieu. Mais, sur ce chemin, chaque être humain ne s’engage pas de la même manière et Dieu ne se donne qu’à
ceux qui le cherchent.
Alors comment y arriver ? Comment y parvenir ?
Les cantiques des montées – ou des degrés, des marches, ou graduels, série de quinze psaumes qui se succèdent, allant du ps. 120 au ps. 135 – nous y aident.
Certains supposent que ces Psaumes étaient chantés sur les degrés du temple : quinze marches qu’il fallait gravir pour atteindre le parvis d’Israël, lors de la montée à Jérusalem, pèlerinage vers la Ville sainte, située sur le sommet d’une montagne, ou qu’ils ont été chantés lors du retour de l’exil, à la montée depuis Babylone. D’autres pensent que ces chants étaient repris pendant les trois pèlerinages annuels que tout juif devait faire.
Saint Augustin voit dans ces Psaumes l’expression de notre pèlerinage vers Dieu en nous préparant à Sa contemplation et il s’est plu à décrire la vie spirituelle comme une ascension vers Dieu, une progression marquée par une série de degrés à gravir. non pas avec les pieds mais avec le cœur : lieu le plus intime de l’homme, endroit où se fait la rencontre avec Dieu. C’est à péleriner sur notre chemin au rythme des Psaumes graduels que nous invitent saint Augustin et l’auteur.
Alors comment y arriver ? Comment y parvenir ?
Les cantiques des montées – ou des degrés, des marches, ou graduels, série de quinze psaumes qui se succèdent, allant du ps. 120 au ps. 135 – nous y aident.
Certains supposent que ces Psaumes étaient chantés sur les degrés du temple : quinze marches qu’il fallait gravir pour atteindre le parvis d’Israël, lors de la montée à Jérusalem, pèlerinage vers la Ville sainte, située sur le sommet d’une montagne, ou qu’ils ont été chantés lors du retour de l’exil, à la montée depuis Babylone. D’autres pensent que ces chants étaient repris pendant les trois pèlerinages annuels que tout juif devait faire.
Saint Augustin voit dans ces Psaumes l’expression de notre pèlerinage vers Dieu en nous préparant à Sa contemplation et il s’est plu à décrire la vie spirituelle comme une ascension vers Dieu, une progression marquée par une série de degrés à gravir. non pas avec les pieds mais avec le cœur : lieu le plus intime de l’homme, endroit où se fait la rencontre avec Dieu. C’est à péleriner sur notre chemin au rythme des Psaumes graduels que nous invitent saint Augustin et l’auteur.