L'ATTENTAT CONTRE BONAPARTE Rue saint-Nicaise 24 décembre 1800
Réf.: SLPl590Gildard Guillaume
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L’attentat de la rue Saint-Nicaise,
perpétré le 3 nivôse an IX (mercredi 24 décembre 1800) contre le
Premier Consul Bonaparte, s’il a été souvent évoqué, n’a jamais fait l’objet d’une étude exhaustive. Trois raisons
permettent de le regretter. D’abord, en dehors de la personne de Bonaparte, il a eu pour but de provoquer, sans
discrimination, le plus grand nombre de morts, blessures et dégâts, et donc de frapper les consciences à propos
d’une situation politique et religieuse. Avec de tels caractères, cet attentat apparaît alors comme le premier attentat
terroriste – dans son acception moderne de
l’Histoire de France. Ensuite, il existe une distance entre la vérité
judiciaire et la vérité ordinaire. Si certains faits avaient été mis en lumière au cours du procès, une tout autre
sentence pénale aurait été probablement rendue à l’égard de certains et, peut-être,
des personnes non incriminées
auraient été poursuivies. Enfin, c’est une enquête très moderne, basée sur des techniques scientifiques, qui a été
conduite par la police à la suite de ce crime odieux, sans doute pour la première fois.
Cet essai captivant et nouveau décrit dans le détail la préparation et l’exécution de l’attentat, rapporte et analyse les débats politiques internes (dont certains ont eu un écho dans les délibérations consécutives aux attentats qui ont frappé la France ces dernières années) et mesures de répression qu’il a suscitées, retrace l’enquête de police et le procès qui ont suivi, dresse le portrait des protagonistes les plus importants, pose les questions qui ne l’ont pas été à l’époque et esquisse les réponses que suscitent toutes les interrogations, cerne la part de vérité ordinaire que ne recouvre pas la vérité judiciaire.
Cet essai captivant et nouveau décrit dans le détail la préparation et l’exécution de l’attentat, rapporte et analyse les débats politiques internes (dont certains ont eu un écho dans les délibérations consécutives aux attentats qui ont frappé la France ces dernières années) et mesures de répression qu’il a suscitées, retrace l’enquête de police et le procès qui ont suivi, dresse le portrait des protagonistes les plus importants, pose les questions qui ne l’ont pas été à l’époque et esquisse les réponses que suscitent toutes les interrogations, cerne la part de vérité ordinaire que ne recouvre pas la vérité judiciaire.