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Livres


  • "MA PRIÈRE, C'EST LA PENSÉE" Circonstances pour un portrait familial de Jean Guitton

    Toute sa vie, Jean Guitton s’est abondamment raconté, avec parfois une grande complaisance. De ce fait il a laissé dans l’ombre certains épisodes de sa vie, comme l’arbitrage suite à l’occupation de l’église Saint-Nicolas-du-Chardonnet, ou la mission auprès de monseigneur Lefebvre, demeurés infructueux. L’auteur, neveu de l’académicien, donne son éclairage sur ces circonstances, en vue de contribuer à son portrait. À partir d’archives familiales il traite de son amour passionné pour la vallée de la Tardes, en Creuse, dans laquelle il a situé le portrait de sa mère, des relations très étroites avec son frère Henri, de son expérience de la chose militaire, de son parcours universitaire, avec la douloureuse épreuve de l’Épuration, et de sa fièvre verte académique. Il évoque ses flirts avec des illustres. Il raconte un certain nombre de souvenirs familiaux, avec quelques précisions sur sa vie quotidienne. Ainsi il apporte des éléments pour une future biographie plus complète d’un homme, sans doute surdoué, très habile et très attachant, qui devrait laisser une trace dans l’histoire.

    18,00 €
  • ...ET L'HOMME A REÇU L'ESPRIT

    Les homélies de saint Léon prononcées au cours des célébrations qu’il présidait comme évêque de Rome, parcourent toute l’année liturgique. Elles sont assez brèves, écrites dans une langue latine superbe, d’une grande précision théologique.
    De Noël à la Pentecôte, en passant par le Carême, le temps de la Passion et ce sommet qu’est la célébration de Pâques, saint Léon explique aux fidèles le coeur de la foi chrétienne, le mystère de l’Incarnation, extraordinaire « abaissement » du Fils de Dieu qui se fait homme pour sauver tous les hommes et les faire participer en un « admirable échange » à sa divinité. Le Pape Léon, par son action et ses écrits avait largement contribué à l’élaboration des définitions du Concile de Chalcédoine, devenues le fondement même du dogme chrétien.

    14,00 €
  • ...ET L'HOMME A REÇU L'ESPRIT pour le temps de Carême et de Pâques

    Les homélies de saint Léon prononcées au cours des célébrations qu’il présidait comme évêque de Rome, parcourent toute l’année liturgique. Elles sont assez brèves, écrites dans une langue latine superbe, d’une grande précision théologique.
    De Noël à la Pentecôte, en passant par le Carême, le temps de la Passion et ce sommet qu’est la célébration de Pâques, saint Léon explique aux fidèles le coeur de la foi chrétienne, le mystère de l’Incarnation, extraordinaire « abaissement » du Fils de Dieu qui se fait homme pour sauver tous les hommes et les faire participer en un « admirable échange » à sa divinité. Le Pape Léon, par son action et ses écrits avait largement contribué à l’élaboration des définitions du Concile de Chalcédoine, devenues le fondement même du dogme chrétien.

    12,00 €
  • 1001 MERVEILLES DE LA SAGESSE JUIVE

    Il est des travaux que les sages qualifient de sagesse et d’autres qu’ils définissent comme labeur. S’agissant de repérer les perles, enfouies ça et là dans l’océan de la littérature juive, une telle anthologie, du fait de l’absence de commentaires et d’analyses, ne constitue a priori rien d’autre qu’un fastidieux travail.
    À ce stade la touche personnelle de l’auteur se situe avant tout dans le choix des aphorismes. Fruit d’années d’études en ce domaine, il ne s’agit pas dans ce travail de repérer des citations arbitraires, mais de proposer un aperçu de lectures, qui m’ont particulièrement marquées, telle une vitrine représentative de la sagesse juive. C’est ainsi qu’on peut y lire un échantillon de tous les domaines de la vie : religieux, philosophique, mystique, scientifique, morale etc.. Se faire ainsi une idée de la vision qu’avaient les maîtres du Talmud sur le monde et la nature, souvent empreinte d’imaginaire et d’humour, dont s’inspirera plus tard la littérature juive, et qu’il serait absurde de toujours prendre au premier degré.
    Les proverbes, une fois tombés dans le domaine public, ne définissent rien d’autre qu’une vision du monde et renferment une sagesse, qui n’a rien à envier aux plus belles oeuvres littéraires. C’est pourquoi, à mon avis, pour entendre une citation il faut se mettre avant tout dans une disposition d’écoute, semblable à une note de musique. Apprendre ainsi à l’accueillir, au-delà de la critique, telle une respiration qui se vit de l’intérieur, un air musical qui nous berce et qui alimente notre inconscient. Il ne s’agit pas d’adhésion, mais tout simplement de jouer le jeu d’accepter de se laisser dérouter par ce qui est dit.
    Il en est de même des contradictions, pour mieux apprécier la richesse de la pensée juive et ses multiples facettes, une proposition n’implique pas forcément une lecture figée et peut aussi s’inverser : « Les paroles des uns et des autres, disent les sages, sont les paroles du Dieu vivant » (Talmud Erouvin 13, b).
    La plupart du temps, une citation se fabrique, aucun auteur ne sait à l’avance qu’une de ses phrases sera séparée d’un texte et deviendra une citation à part entière. Par conséquent, bien que le contexte soit important pour mieux apprécier l’intention de l’auteur, ce qui est exigé ici c’est, au contraire, d’isoler la phrase de sorte qu’elle puisse constituer à elle seule une idée indépendante. Parfois plusieurs citations les unes à côté des autres forment un tout cohérent.
    Souhaitons que ces mille et une merveilles donnent aux lecteurs l’envie d’approfondir d’en savoir plus sur ce que constitue la part universelle de la sagesse juive.

    15,00 €
  • 12 ENFANTS SOUS UN POMMIER et autres souvenirs normands

    Raynald Duplessy a certes été élevé par ses parents dans un quartier urbain près de Rouen, mais dès sa petite enfance il a passé tous ses temps libres chez ses grands-parents, petits paysans traditionnels du Pays de Bray. Période fondatrice pour ce joyeux conteur. Il évoque ici, avec humour, de nombreuses anecdotes sur l’ancienne vie rurale normande. Son regard d'enfant est resté intact.
    S'il ne nous emmène guère qu’une soixantaine d’années en arrière, il est pourtant difficile aujourd’hui d’imaginer la pauvreté et la dureté de cette vie dans ce qu’on pourrait appeler actuellement « la Normandie périphérique ». Et Raynald Duplessy a très tôt compris l’enjeu de cette mémoire : « Quand j’allais à la ferme, je savais que je vivais un temps révolu. Les grands-parents ne suivaient pas les temps nouveaux, ils vivaient comme avant 1939, c’était même le style de vie d’avant 1914. Je savais que c’était la fin. Très jeune, j’y allais comme un quasi-ethnologue. J’étais à la fois acteur et spectateur. Je voulais m’imprégner. »

    15,00 €
  • 30 MINUTES POUR DEVENIR SAINTES ET SAINTS avec le chapelet quotidien

    «Si le grain tombé en terre ne meurt pas, il reste seul, mais s'il meurt, il porte beaucoup de fruit » (Jean 12, 24) Et si le chapelet était pour toi, en méditant la vie de Jésus grain après grain, jour après jour, en présence de Marie, l'assurance de ne pas rester seul ! Comment ? En mourant à toimême, au pessimisme, au repli sur soi, parvenant ainsi à la sainteté en partageant avec tes frères ton espérance ... et donc ta joie ! Car, comme l'affirme le Pape François :
    « La sainteté ne rend pas moins humain, c'est la rencontre de la faiblesse avec la force de la grâce » (exhortation apostolique : soyez dans la joie et l'allégresse ).

    15,00 €
  • 7 JOURS EN RETRAITE avec saint Pierre Damien

    Toute vie suppose des choix. La seule question qui compte vraiment est celle-ci : « Quel est ton trésor ? » (1er matin). Si je me trompe encore de chemins, c’est le moment de m’interroger : « Quel esprit m’habite vraiment ? » (1er soir) ? Et si ce n’est pas l’Esprit reçu au baptême, comment m’étonner que je m’égare ? (2e matin). Il suffit de m’ouvrir au don qui déjà m’habite, cette mystérieuse présence (2e soir). Alors, je verrai l’essentiel (3e matin), à l’écoute de cette humble voix intérieure (3e soir). Le Christ seul deviendra tout pour moi (4e matin). Ne doutes pas : « Rien n’est impossible à Dieu » (4e soir). Seule la charité EST ; le mal a-t-il encore quelque existence aux yeux de l’éternité (5e matin) ? Ton Père « voit dans le secret », Il a résolu de te sauver (5e soir). Si tu te sens encore trop loin de Lui, si pauvre, réjouis-toi, c’est justement ce qui ouvre ton cœur à Celui qui est venu (6e matin) non en juge, mais en ami pour te mener au Père (6e soir). Alors, « ouvre-lui les replis de ton coeur » (7e matin). Et si la route semble dure, souviens-toi de ta vraie patrie (7e soir). Marie se tiendra toujours à tes côtés, si attentive, si bonne (prière avant de reprendre la route).

    15,00 €
  • A DIOGNETE

    Comment vivre en chrétien ? À quoi reconnaît-on un chrétien ? Des questions qui se posent de siècle en siècle : que répondait-on au IIe ou IIIe siècle ? Et en quoi la réponse peut-elle nous parler aujourd’hui ? Cet écrit anonyme, datant de la fin du IIe siècle, est un des témoignages les plus anciens de la manière dont les premières générations chrétiennes ont rendu compte de leur foi. Il est intéressant de voir comment, dans un univers encore très marqué par la philosophie antique, un discours chrétien prend forme.

    11,00 €