QUI M'A TENU LA MAIN LE JOUR DE MON CERTIFICAT D'ÉTUDES - De la paysannerie à la spiritualité
Ref.: SLPl334Francis Ganry
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En ce mois d’octobre 1959, Francis se retrouve interne au collège. Quels bouleversements l’ont conduit dans cette forteresse, lui le paysan épris de liberté et hostile à l’école ? Il ne le sait que trop bien. Après le drame qui s’est abattu sur lui, et sans sa double – et inespérée – réussite au certificat d’études puis au concours d’entrée en quatrième, il serait toujours dans ses terres !
Alors qu’il est assis au milieu des autres dans la salle d’études, certaines images reviennent le hanter. Ce soir où son père, Léo, lui a fait sa rédaction ; c’était peu avant les examens de fin d’année. Le lendemain matin, il avait disparu. Et c’est lui, Francis, qui a découvert son corps. Une vision terrifiante ! Huit jours après, il a dû quitter sa maison de Vignolles, un départ cruel, sans retour. Et son village adoré s’est transformé en cité interdite.
Il a hâte de terminer ses devoirs pour se replonger dans les moments heureux de son passé. C’est aussi un moyen de surmonter les brimades dont il est victime. Mais une voix secrète lui souffle soudain : « Francis, tu devras écrire un jour tous ces évènements que tu viens de vivre. » Il s’acquitte aujourd’hui de ce serment.
Sa rencontre avec JeanMichel – un vrai saint Vincent de Paul et accessoirement un étudiant ingénieur très doué – va bouleverser sa vie. Il lui confie sa vaine quête de Dieu alors qu’il en ressent l’immanence dans la nature et ses élans compassionnels aussi intenses qu’imprévisibles envers les êtres en détresse, pressentiments qui ne trouvent aucune résonance dans son désert spirituel. JeanMichel écoute, parle, conseille et l’invite à des réunions bibliques et des récitals, comme celui du Père Duval qui le conquiert.
Deux livres catalysent chez Francis une transformation radicale et le confortent dans l’authenticité de ses révélations de 1959 dont il garde toujours le secret. Il finit, au bout de dix ans, par se confier à son curé. Bien des années après, alors qu’il lui rend visite en Suisse, il vit un événement singulier qu’il interprète comme un signe divin.
Alors qu’il est assis au milieu des autres dans la salle d’études, certaines images reviennent le hanter. Ce soir où son père, Léo, lui a fait sa rédaction ; c’était peu avant les examens de fin d’année. Le lendemain matin, il avait disparu. Et c’est lui, Francis, qui a découvert son corps. Une vision terrifiante ! Huit jours après, il a dû quitter sa maison de Vignolles, un départ cruel, sans retour. Et son village adoré s’est transformé en cité interdite.
Il a hâte de terminer ses devoirs pour se replonger dans les moments heureux de son passé. C’est aussi un moyen de surmonter les brimades dont il est victime. Mais une voix secrète lui souffle soudain : « Francis, tu devras écrire un jour tous ces évènements que tu viens de vivre. » Il s’acquitte aujourd’hui de ce serment.
Sa rencontre avec JeanMichel – un vrai saint Vincent de Paul et accessoirement un étudiant ingénieur très doué – va bouleverser sa vie. Il lui confie sa vaine quête de Dieu alors qu’il en ressent l’immanence dans la nature et ses élans compassionnels aussi intenses qu’imprévisibles envers les êtres en détresse, pressentiments qui ne trouvent aucune résonance dans son désert spirituel. JeanMichel écoute, parle, conseille et l’invite à des réunions bibliques et des récitals, comme celui du Père Duval qui le conquiert.
Deux livres catalysent chez Francis une transformation radicale et le confortent dans l’authenticité de ses révélations de 1959 dont il garde toujours le secret. Il finit, au bout de dix ans, par se confier à son curé. Bien des années après, alors qu’il lui rend visite en Suisse, il vit un événement singulier qu’il interprète comme un signe divin.