QU’ ÉCLATE LA JOIE DES PASSEREAUX
Réf.: SLPl200Père Jean-Marie Martin
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L’auteur nous entraîne avec lui dans une marche contemplative en forêt. Peu à peu, étrangement, il va se retrouver en Eden où les passereaux, notamment trois d’entre eux, à travers leurs débats, vont susciter en lui une contemplation très personnelle du Mystère de la Mort et de la Résurrection, sur le mode de l’Oraison, de la Profession de Foi intime. Faisons les premiers pas avec l’auteur dans son récit :
« Quelque soit la beauté de chacun de ces arbres qui m’entourent, il en est un, en particulier, que je préfère, et c’est lui que je viens visiter, comme on visite une personne que l’on aime… Je l’ai adopté. Il est mien ! Tout comme je suis à lui ! Auprès de lui, je me sens bien. Est-ce fou de penser qu’il existe une réciprocité ? Nous échangeons, il me parle de lui, je lui parle de moi, nous partageons le secret que nous sommes l’un pour l’autre... C’est un arbre mort, dénudé. Il fut pourtant, jadis, un arbre vivace, avant que la main de l’homme ne lui donne la forme d’une croix. Vous savez, comme cette Croix que l’on planta tout en haut du Calvaire !... »
« Décidemment, étrange lieu que cette forêt… Serais-je passé en Eden ? Serait-il possible, qu’à un moment ou un autre, j’ai franchi, sans la soupçonner, une frontière imperceptible ? C’est elle, la Croix vers laquelle je marche, mon amie, qui m’a introduit en des sphères inaccessibles. Que veut-elle me révéler en me permettant d’entrer en ce Paradis d’où l’homme fut pourtant chassé ? »
« Soudain, tout autour de moi, le chant des passereaux redoubla de beauté et d’allégresse. Maintenant, détournant mes yeux de la Croix, ils me parlent de Résurrection ! Oui, chantez plus fort, fidèles passereaux, plus intensément encore, chantez comme le firent les Anges du Ciel venus adorer l’Enfant déposé au Berceau de l’Incarnation ! Exultez de joie, passereaux, comme les Messagers Célestes au matin Béni de la Résurrection !... Et nous tous, les humains, nous sommes aussi des Passereaux, des enfants de passage, les enfants du Passage ! L’Homme est promis au Grand Passage, comme le chante l’Exultet de la Nuit Pascale, promis à la Résurrection ! L’Allégresse des Passereaux, c’est la nôtre !... Le Chant des Passereaux, c’est le nôtre ! C’est le mien, je suis un Passereau, et voici maintenant mon chant en cet ouvrage… »
« Quelque soit la beauté de chacun de ces arbres qui m’entourent, il en est un, en particulier, que je préfère, et c’est lui que je viens visiter, comme on visite une personne que l’on aime… Je l’ai adopté. Il est mien ! Tout comme je suis à lui ! Auprès de lui, je me sens bien. Est-ce fou de penser qu’il existe une réciprocité ? Nous échangeons, il me parle de lui, je lui parle de moi, nous partageons le secret que nous sommes l’un pour l’autre... C’est un arbre mort, dénudé. Il fut pourtant, jadis, un arbre vivace, avant que la main de l’homme ne lui donne la forme d’une croix. Vous savez, comme cette Croix que l’on planta tout en haut du Calvaire !... »
« Décidemment, étrange lieu que cette forêt… Serais-je passé en Eden ? Serait-il possible, qu’à un moment ou un autre, j’ai franchi, sans la soupçonner, une frontière imperceptible ? C’est elle, la Croix vers laquelle je marche, mon amie, qui m’a introduit en des sphères inaccessibles. Que veut-elle me révéler en me permettant d’entrer en ce Paradis d’où l’homme fut pourtant chassé ? »
« Soudain, tout autour de moi, le chant des passereaux redoubla de beauté et d’allégresse. Maintenant, détournant mes yeux de la Croix, ils me parlent de Résurrection ! Oui, chantez plus fort, fidèles passereaux, plus intensément encore, chantez comme le firent les Anges du Ciel venus adorer l’Enfant déposé au Berceau de l’Incarnation ! Exultez de joie, passereaux, comme les Messagers Célestes au matin Béni de la Résurrection !... Et nous tous, les humains, nous sommes aussi des Passereaux, des enfants de passage, les enfants du Passage ! L’Homme est promis au Grand Passage, comme le chante l’Exultet de la Nuit Pascale, promis à la Résurrection ! L’Allégresse des Passereaux, c’est la nôtre !... Le Chant des Passereaux, c’est le nôtre ! C’est le mien, je suis un Passereau, et voici maintenant mon chant en cet ouvrage… »