QUAND LE BOEUF MUGIRA - Vie et oeuvres de saint Thomas d'Aquin
Ref.: SLPl440Robert Tirvaudey
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Cette biographie de saint Thomas d’Aquin est avant tout une biobibliographie puisque sa pensée s’ancre dans sa vie et son œuvre éclaire son existence. Penser et être disent le même. Connaître la vie spirituelle et intellectuelle de saint Thomas, c’est se pencher sur ses œuvres, notamment sur la Somme théologique. Et lire La Somme théologique avec Contre les Gentils c’est aborder la maturité de saint Thomas. L’un ne va pas sans l’autre et inversement.
Auteur du XIIIe siècle, saint Thomas est né vers 1224/1225 au château de Roccasecca près d'Aquino, dans la partie péninsulaire du Royaume de Sicile, mort le 7 mars 1274 à l'abbaye de Fossanova près de Priverno. D'après d'anciennes chroniques, ils descendaient des princes lombards, et leurs ancêtres s'étaient illustrés sous les drapeaux de Charlemagne, en combattant les Sarrasins. En outre, il devait illuminer le monde par la supériorité incomparable de sa science et la splendeur de son génie.
A dix-neuf ans, il est reçu parmi les novices de l’ordre dominicain, déclenchant une vive opposition de sa famille, qui le fait enlever sur la route qui le conduit à Paris. Il prononce toutefois ses vœux en 1243 et étudie à Paris, puis à Cologne, où il a pour maître Albert le Grand et pour condisciples Ambroise de Sienne et Thomas de Cantimpré. Il est taciturne et ses compagnons le surnomment « le grand bœuf muet de Sicile ». Mais dans une argumentation qu’il soutient publiquement, il répond avec une dialectique si pointue et si lumineuse qu’Albert le Grand se tourne tout ému vers ses élèves et leur prédit que « les mugissements de ce bœuf retentiront dans tout l’univers ». Comme son maître, il est ouvert à la renaissance des œuvres de l’Antiquité, celles de Platon mais surtout d’Aristote.
Auteur du XIIIe siècle, saint Thomas est né vers 1224/1225 au château de Roccasecca près d'Aquino, dans la partie péninsulaire du Royaume de Sicile, mort le 7 mars 1274 à l'abbaye de Fossanova près de Priverno. D'après d'anciennes chroniques, ils descendaient des princes lombards, et leurs ancêtres s'étaient illustrés sous les drapeaux de Charlemagne, en combattant les Sarrasins. En outre, il devait illuminer le monde par la supériorité incomparable de sa science et la splendeur de son génie.
A dix-neuf ans, il est reçu parmi les novices de l’ordre dominicain, déclenchant une vive opposition de sa famille, qui le fait enlever sur la route qui le conduit à Paris. Il prononce toutefois ses vœux en 1243 et étudie à Paris, puis à Cologne, où il a pour maître Albert le Grand et pour condisciples Ambroise de Sienne et Thomas de Cantimpré. Il est taciturne et ses compagnons le surnomment « le grand bœuf muet de Sicile ». Mais dans une argumentation qu’il soutient publiquement, il répond avec une dialectique si pointue et si lumineuse qu’Albert le Grand se tourne tout ému vers ses élèves et leur prédit que « les mugissements de ce bœuf retentiront dans tout l’univers ». Comme son maître, il est ouvert à la renaissance des œuvres de l’Antiquité, celles de Platon mais surtout d’Aristote.