L'INTEGRALE DE LA CORRESPONDANCE DE PIERRE LE VÉNÉRABLE
č.: SLPl403Père Vuillaume osb
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TOME 1 : L’amitié à l’épreuve de la diversité
On a trop souvent réduit les relations du IXe abbé de Cluny avec saint Bernard à la polémique qui a opposé au XIIe siècle les bénédictins aux cisterciens, témoins du « nouveau monachisme ». En réalité les deux hommes ont connu une profonde et authentique amitié qui s’est fortifiée et purifiée à travers ces tensions mêmes, voire ces réelles divergences. Les deux plus longues lettres de cette correspondance sont en fait de véritables traités spirituels où Pierre le Vénérable expose son herméneutique de la Règle et donc de tout texte considéré comme inspiré. Au fil des pages, le lecteur découvrira également quantité de détails historiques sur la vie des moines au Moyen Age, période de renouveau du charisme monastique et sur la chrétienté de l’époque. Au-delà, ces lettres retracent l’évolution d’une relation qui a su devenir de plus en plus fraternelle en assumant la franche diversité de ces deux hommes de Dieu.
TOME 2 : Le souci de tous mes frères
Après avoir présenté, dans un premier tome intitulé " L’amitié à l’épreuve de la diversité, correspondance de Pierre le Vénérable et de Bernard de Clairvaux " la correspondance de Pierre le Vénérable et de Bernard de Clairvaux, le Père Vuillaume osb offre ici au lecteur un deuxième recueil de lettres du célèbre Abbé de Cluny. Si leurs destinataires en sont nettement moins connus, elles n’en présentent pas moins un intérêt de premier plan pour mieux connaître la personnalité, à bien des titres remarquable, de Pierre le Vénérable et compléter ce que l’on sait déjà du milieu monastique et ecclésial du 12e siècle dans lequel il a vécu, puisqu’il s’agit de sa correspondance avec les moines et moniales de son temps : bénédictins et cisterciens, mais aussi chartreux, sans oublier la célèbre abbesse Héloïse. Ces lettres regroupées en huit sections correspondent à chaque fois à un groupe homogène de correspondants ou à un destinataire particulier.
Au-delà de l’aspect historique, les moines et les moniales y sentiront vibrer un cœur, méditer un esprit, s’exprimer une langue et une main qui, en fin de compte, ne sont pas si étrangers ou éloignés de ce qu’ils peuvent vivre, en profondeur, en ce début de XXIe siècle. Pour apprécier les auteurs anciens, il faut en effet savoir se laisser dépayser, comme on le ferait en visitant un autre pays, où l’on retrouve cependant la même humanité, appelée à la même destinée.
Au-delà de l’aspect historique, les moines et les moniales y sentiront vibrer un cœur, méditer un esprit, s’exprimer une langue et une main qui, en fin de compte, ne sont pas si étrangers ou éloignés de ce qu’ils peuvent vivre, en profondeur, en ce début de XXIe siècle. Pour apprécier les auteurs anciens, il faut en effet savoir se laisser dépayser, comme on le ferait en visitant un autre pays, où l’on retrouve cependant la même humanité, appelée à la même destinée.
TOME 3 : Cette Église qui vous est confiée
La correspondance de Pierre le Vénérable avec les trois papes qu’il a connus et avec une vingtaine d’évêques est d’abord une page d’histoire de l’Église et de la papauté de première main qui n’avait jamais été traduite intégralement. Loin de tout formalisme, Pierre sait entretenir, même avec les pontifes romains, une relation certes emprunte de déférence, mais toujours vraie, directe, cohérente avec leurs responsabilités respectives. Sa correspondance avec les évêques est plus nuancée, car un certain nombre d’entre eux sont d’anciens clunisiens et parfois de véritables amis. Avec ces derniers, on retrouve le ton qu’il employait avec saint Bernard, franc et toujours juste. Avec les autres, il intervient souvent pour défendre la cause de Cluny face aux attaques auxquelles se livre une partie du haut clergé contre la célèbre congrégation, parfois jugée quelque peu suffisante. Mais ces lettres témoignent avant tout du sens très élevé de l’Église qui habite le cœur de Pierre le Vénérable et de la conscience de sa responsabilité pastorale, quitte à la rappeler aux plus hauts dignitaires: «Cette Église que Dieu vous a confiée... » : un rappel qu’aucun chrétien ne saurait négliger, surtout de nos jours.
TOME 4 : Pour votre salut éternel
Après avoir présenté, dans un premier tome intitulé " L’amitié à l’épreuve de la diversité, correspondance de Pierre le Vénérable et de Bernard de Clairvaux " la correspondance de Pierre le Vénérable et de Bernard de Clairvaux, le Père Vuillaume osb offre ici au lecteur un deuxième recueil de lettres du célèbre Abbé de Cluny. Si leurs destinataires en sont nettement moins connus, elles n’en présentent pas moins un intérêt de premier plan pour mieux connaître la personnalité, à bien des titres remarquable, de Pierre le Vénérable et compléter ce que l’on sait déjà du milieu monastique et ecclésial du 12e siècle dans lequel il a vécu, puisqu’il s’agit de sa correspondance avec les moines et moniales de son temps : bénédictins et cisterciens, mais aussi chartreux, sans oublier la célèbre abbesse Héloïse. Ces lettres regroupées en huit sections correspondent à chaque fois à un groupe homogène de correspondants ou à un destinataire particulier.
Au-delà de l’aspect historique, les moines et les moniales y sentiront vibrer un cœur, méditer un esprit, s’exprimer une langue et une main qui, en fin de compte, ne sont pas si étrangers ou éloignés de ce qu’ils peuvent vivre, en profondeur, en ce début de XXIe siècle. Pour apprécier les auteurs anciens, il faut en effet savoir se laisser dépayser, comme on le ferait en visitant un autre pays, où l’on retrouve cependant la même humanité, appelée à la même destinée.
Au-delà de l’aspect historique, les moines et les moniales y sentiront vibrer un cœur, méditer un esprit, s’exprimer une langue et une main qui, en fin de compte, ne sont pas si étrangers ou éloignés de ce qu’ils peuvent vivre, en profondeur, en ce début de XXIe siècle. Pour apprécier les auteurs anciens, il faut en effet savoir se laisser dépayser, comme on le ferait en visitant un autre pays, où l’on retrouve cependant la même humanité, appelée à la même destinée.