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Livres


  • LE PASSAGE

    « À son passage
    Sur la face de la terre
    Je vois un visage d’espérance
    Dans le sillage de la confiance »
    Quarante poèmes de traversée et d’accueil
    Dans la gratitude du passage
    La promesse sincère
    D’un monde généreux et solaire.

    14,00 €
  • LE PÉCHÉ ORIGINEL avec Thomas d'Aquin

    La question du péché originel suscite de très nombreux débats dans la théologie catholique. Elle est incomprise, niée ou reformulée fréquemment de manière à en neutraliser les difficultés. Elle semble devenue inacceptable parce que incompatible avec la pensée et l'esprit de nos contemporains. Saint Thomas est le théologien auquel le magistère ecclésial ne cesse de se référer sur ce point précis de la révélation et de la doctrine catholique. C'est qu'en effet il offre une explication très homogène au donné de foi, qui reste cependant mal connue. Nous proposons une synthèse ordonnée qui tient compte des difficultés de compréhension que nous évoquions, non pour les contourner mais pour les situer par rapport au contenu de la doctrine thomasienne et de l'enseignement dogmatique de l'Église.

    14,00 €
  • LE PETIT CHANTEUR À LA CROIX DE MARBRE

    1943 : au cœur d’une petite ville du Pas-de-Calais, dans la maison de ses parents devenue la Kommandantur locale et un hôpital de guerre, meurt Philippe, un enfant de cinq ans, atteint d’un très douloureux cancer du rein. Sa mère qui, jour après jour, heure après heure, a suivi son calvaire, entreprend alors avec le petit mort, tout autant qu’avec Dieu ou les forces multiples du mal, un dialogue déchirant qui prendra la forme de poèmes écrits dans la grande tradition romantique française, de Victor Hugo à Anna de Noaillles.
    Elle y dit, rivale de la divinité elle même, son combat apocalyptique pour rendre à son fils une existence nouvelle ; elle y poursuit le miracle d’une résurrection continuellement réentreprise et le mirage insensé d’une réincarnation dans l’enfant qu’elle porte alors et qu’elle appellera aussi Philippe ; elle y déploie tous les rites du culte qu’elle rend, Amante maternelle, à son Bien-Aimé disparu ; elle y confesse les doutes de sa foi au sein du nécessaire isolement de sa quête inouïe ; elle y découvre, enfin, son angoisse devant l’œuvre du temps, où elle ne peut lire qu’une menace d’oubli, quand il n’est que la condition pour que s’effectue pleinement le travail du deuil.
    Deuil compliqué, deuil prolongé, mais deuil achevé : il lui aura fallu, pour y parvenir, dix ans, dix années d’une expérience religieuse et psychique exceptionnelle : en 1953 elle cesse définitivement d’écrire.

    22,00 €
  • LE PETIT OREILLER DE L’ENFANT JÉSUS suivi de LE NOËL DE BÉCASSOU

    Le petit oreiller de l’enfant Jésus
    Sous les lambris de son palais madrilène, la marquise Inès ne songe, en cette veille de Noël, qu'aux réjouissances qu'elle donnera, oubliant le sens de la Nativité. Mais cette année là, le seul fils de son cousin, le petit Alvarito, est frappé d'une grave maladie. Qui alors se souviendra de la foi de ses pères, en cette longue nuit où naissent lumière et espoir ?
    Le Noël de Bécassou
    Au royaume des santons, c'est la grande agitation. Chaque année, depuis des temps immémoriaux, le jour qui précède Noël, on attend la caravane des enfants. En l'honneur de leur Roi, l'Enfant de la crèche, les santons soignent l'accueil et les enfants, de leur côté, préparent depuis des jours et des jours leurs cadeaux. Mais quand on se sent un petit garçon pauvre et maladroit qui n'a rien à offrir ? Bécassou, tout triste, suit la caravane en traînant les pieds. Et voilà qu'il rencontre une petite fille encore plus désemparée. Tout, bien sûr, finira dans le beau sourire inoubliable de la Vierge Marie ! Entre conte et réalisme, l'aventure de celui qu'on surnomme Bécassou et de Maria chante la grande aventure de Noël. Au royaume des santons, le rire et les larmes, l'amour et la rivalité, la douceur et l'exubérance, la vie, en un mot ! se bousculent sous le regard de tendresse de la Mère de Dieu, son Enfant dans les bras.

    8,00 €
  • LE PREMIER PAS Les aventures de Raffles

    En veine de confidences après cette fameuse nuit à Milchester Abbey ou gentlemen cambrioleurs et voleurs professionnels s'affrontèrent, Raffles se décide enfin à révéler à son ami et complice Bunny les circonstances de son premier forfait.
    Joueur de cricket émérite à l'Université, Raffles, bien que blessé à la main, accompagne son équipe en Australie pour une importante compétition : il compte bien gagner gros en pariant. Hélas, moins expérimenté qu'aujourd'hui le voilà vite « à sec ». Pour se « refaire » il songe alors à contacter un lointain parent, directeur d'une succursale de la Banque Nationale australienne.
    Il dispose de quelques jours pour partir à sa recherche à travers le bush australien. C'est l'aventure qu'il trouvera au bout du chemin, le grand frisson… et une vocation aussi puissante que malhonnête !
    Une aventure haute en couleur qui donnera naissance à un redoutable (mais charmant) voleur !

    9,00 €
  • LE PRIX DU CONSEIL

    Diplômé de l’école des Hautes Aptitudes Mercantiles (HAM), Lothaire de Carteville intègre Barkins & Crackwell, célèbre cabinet de conseil en stratégie, avec l’intention d’y faire carrière et de sauver son manoir familial, qui menace ruine. Ses débuts s’avèrent plus compliqués que prévu : associés manipulateurs, collègues ambitieux et prêts à tout pour briller, clients perdus dans les délires de leur novlangue. Fasciné par la personnalité d’un associé et sous le charme d’une consultante, Lothaire met tout en œuvre pour travailler avec l’un et séduire l’autre, mais la compétition fait rage…

    Gaspard Saint-Jean est né en 1991. Après des études à HEC Paris, il débute sa carrière dans le conseil en stratégie, où il découvre le potentiel comique du monde des affaires. Passionné par Flaubert et Beethoven, il se consacre désormais à l’écriture.

    18,00 €
  • LE PSAUTIER de LIGUGÉ

    Voici ce qu’en dit le Père Vincent Desprez osb, qui a participé à l’équipe de spécialistes qui pendant vingt ans a travaillé à cette traduction. « Cette traduction des psaumes est le fruit d'un labeur poursuivi de 1968 à 1980 pour les psaumes et de 1981 à 1986 pour les cantiques, et destiné avant tout à procurer à la communauté de Ligugé une traduction utilisable pour l'Office divin, à la fois exempte d'obscurités, écrite en un français simple et coulant, se prêtant bien à la récitation en deux chœurs alternés et par versets de deux ou trois stiques, conformément à l'usage séculaire du monachisme.
    Sans être servile, cette traduction se veut fidèle. Sa visée n'est pas directement scientifique, bien que l'on ait cherché à faire oeuvre aussi solide que possible, en s'aidant des meilleurs travaux disponibles sur les psaumes. En principe, nous avons cherché à rendre le texte original hébreu (texte massorétique) sous une forme accessible aux esprits d’aujourd’hui ; mais lorsque des versions anciennes, notamment la Septante, paraissaient témoigner d'un texte hébreu plus proche de l'original, nous en avons souvent tenu compte; nous avons également adopté parfois les corrections modernes qui semblaient judicieuses. L’équipe s’est abstenue d'expliquer ses options par des notes: les spécialistes devineront les leçons suivies, le fidèle appréciera la fluidité et la belle langue.
    Ajoutons que nous avons trouvé beaucoup de formules heureuses dans les traductions antérieures et que nous les avons souvent reprises, telles quelles ou plus ou moins modifiées.
    Dans les passages obscurs, nous ne nous sommes pas réfugiés dans une formulation ambiguë; nous nous sommes en général clairement exprimés suivant notre option, même quand nous savions que cette option était grevée d'un doute.
    Mention particulière doit être faite du problème des gloses : parties de texte considérées comme des additions introduites dans le texte original. Il est difficile – souvent impossible – d'identifier avec certitude ce qui est vraiment une glose; d'autre part les gloses peuvent être des additions anciennes heureuses d'où résulte un texte plus clair et plus riche, digne d'être retenu de préférence au texte primitif ; dans de tels cas, nous avons gardé le texte tel qu'il se présentait. Par contre, quand le texte nous a paru abîmé par des gloses ou par des répétitions maladroites dans un passage en mauvais état, nous avons procédé à un allégement en marquant les suppressions importantes par une ligne de points.
    Inversement, si l'on peut dire, nous avons quelquefois introduit des « gloses » explicatives dans notre traduction: la poésie hébraïque s'accommode d'une formulation elliptique qui n'est pas toujours facile à comprendre et qui, transposée en français, nous a semblé parfois inacceptable sans un minimum d'éclaircissement.
    Autre liberté que nous avons prise: dans les cas, d'ailleurs assez rares, où des comparaisons étaient étranges et même inintelligibles dans nos conditions culturelles, nous n'avons pas hésité à changer le terme de comparaison.

    20,00 €
  • LE RAPPORT AUX SAVOIRS EN ÉDUCATION

    Acteurs, Rapport aux Savoirs, Insertion… Ces mots balisent le champ de recherche d’un groupe pluridisciplinaire, le groupe ARSI qui, depuis plusieurs années, s’interroge sur ce qui constitue le coeur même des actions d’éducation et de formation: comment des sujets, enfants ou adultes, se rapportent-ils aux savoirs qui leur sont transmis par les institutions d’enseignement ou de formation qu’ils fréquentent? Les chercheurs qui ont contribué à ce collectif ont en commun d’appartenir aux sciences de l’éducation. Pour autant leur histoire personnelle, professionnelle, culturelle, leurs ancrages épistémologiques, leurs choix méthodologiques et les objets de recherche qu’ils investiguent par ailleurs, les différencient nettement les uns des autres. Sur la question du rapport aux savoirs, et à l’appui d’un texte particulièrement stimulant de Bernard Charlot, extrait du collectif qu’il a dirigé: Les jeunes et le rapport au savoir. Perspectives internationales. Paris: Armand Colin (Coll. Éducation), 2001, ce livre est l’occasion de présenter certaines de leurs approches. De la pluralité de ces regards, se dégage, sinon une définition consensuelle du rapport aux savoirs, au moins un cadre de référence commun susceptible de marquer de son empreinte l’orientation des travaux et des réflexions des uns et des autres, et de contribuer ainsi à l’avancée des connaissances en ce domaine.

    19,00 €