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Livres


  • LE MYSTÈRE DES ANGES

    Saint Augustin a écrit : « Les anges sont des esprits, mais ce n’est pas parce qu’ils sont des esprits qu’ils sont des anges. Ils deviennent des anges quand ils sont envoyés en mission. En effet, le nom d’ange fait référence à leur fonction et non à leur nature. Si vous voulez savoir le nom de leur nature, ce sont des esprits. Si vous voulez savoir le nom de leur fonction, ce sont des anges, ce qui signifie ‘messagers’. » Il semble que depuis que le phénomène religieux est observé chez l'homme, la présence d'anges, ou de créatures invisibles intermédiaires, bonnes ou mauvaises, est attestée. Si un certain rationalisme a pu les exclure de nos horizons au cours des dernières décennies, il semble que nous assistons aujourd’hui à un véritable retour de l'invisible : les spiritualités New Age, qui imprègnent en profondeur notre civilisation moderne, ont fait des « anges », pour le meilleur et pour le pire, leurs fonds de commerce. Nous constatons un goût pour les anges qui semble renaître, phénomène associé à la floraison d'une littérature qui a probablement comblé un vide de discours sur le sujet en Occident. Qui sont –ils ? Quelle est leur nature ? Leur vocation ? Quelles furent les grandes manifestations angéliques dans l’Histoire jusqu’à aujourd’hui ? Pourquoi certains de ces anges ont–ils « déchu » ? Comment se sont positionnées les grandes autorités face à ce phénomène ? C’est pour déchiffrer ce « mystère » que cet ouvrage tentera de donner quelques clefs.

    14,00 €
  • LE MYSTÈRE DES LARMES DE CROCODILE

    Les humains pensent que les crocodiles font exprès de pleurer.
    Mais non, ce sont simplement des êtres très sensibles…
    Mais il était une petite crocodile qui ne pleurait jamais !
    Du coup, elle s’interrogeait et a décidé d’enquêter sur « pourquoi on pleure ? ».
    Une jolie histoire pleine d’imagination pour aborder les émotions et comment on les ressent et on les montre.

    10,00 €
  • LE MYSTÈRE DU PORTRAIT DE JÉSUS ou les messagers du roi Abgar

    La ville d’Édesse – en syriaque Urfa ou Şalınurfa – en Turquie est célèbre pour posséder le Portrait de Jésus, ainsi que la lettre du roi Abgar à Jésus, et la réponse de celui-ci au roi. Le texte qui contient ces lettres, la Doctrine d’Addaï, date de 380. De son coté, l’historien Eusèbe de Césarée, en 325, reproduit la correspondance entre le roi Abgar – Abgar V – et Jésus. Selon la Doctrine d’Addaï, les messagers du roi Abgar arrivent à Jérusalem, et rencontrent Jésus, le 12 Nissan de l’an 344 des Séleucides, le 30 mars 33 de notre ère. Apparaît un rapprochement à faire entre ce texte et l’évangile de Saint Jean. Resté caché jusqu’en 400, le tissu d’Edesse, semble-t-il de grande taille, est appelé en grec himation, peplos, c’est-à-dire habits, ou bien sindon, tissu fin, voile de bateau. Ensuite, Le Portrait – il est ainsi dénommé – très vénéré à Edesse, fait l’objet, en 944, de longues tractations, entre les autorités de la ville et l’empereur byzantin Romain 1 er qui l’amène à Constantinople. Le Portrait reçoit alors un autre nom : Agion Mandylion, la Sainte Serviette. Les lettres d’Abgar et de Jésus, volées en 1185, ont disparu. Le Mandylion disparaît lors du sac de Constantinople, le 12 avril 1204. Il semble qu’il ait été transféré en France, et qu’il ne serait rien d’autre que le Linceul de Turin. Les textes utilisés sont reproduits en fin d’ouvrage, ainsi qu’une table chronologique.

    18,00 €
  • LE MYSTÈRE RÉSISTANT

    La manière dont le sacrement et le contrat civil de mariage se sont instaurés, dans l’histoire de l’ Occident, mérite toute notre attention. Un modèle immuable – le mariage canonique a ainsi traversé des siècles. Concernant les divorcés ( y compris remariés) un tournant s’est récemment produit sous l’impulsion du pape François, après un demi6siècle de malaise profond. Appelons Règle certaines dispositions propres au mariage canonique. Les raisons psychologiques et spirituelles de porter un regard critique sur l’assujettissement à un strict « esprit de la Règle » ne manquent pas. Les divorcés sont désormais invités à discerner en conscience et dans l’Esprit Saint . Leur chemin difficile mérite d’être balisé afin qu’on y repère les chemins de vie et de mort. Il progresse selon des étapes concrètes comportant chacune un appel. Le plus important est de trouver un sens spirituel véritable à l’orientation choisie au décours d’un divorce. Tout s’y rapporte au Mystère de l’Un qui nous habite. Le Christ est venu sauver l’Un qui est dans le monde. Et sa Miséricorde est allée jusqu’à vouloir traverser la souffrance de la Fracture. L’existence d’une possible Montée spirituelle au cours d’un divorce mérite grandement d’être soulignée.Elle se développe autour de quatre axes : faire face à un trauma temporel, entrer dans le combat spirituel, devenir chercheur d’espérance, pratiquer l’Amour en toutes circonstances. L’éros est le support possible d’une rencontre des âmes par les corps.
    Le chrétien peut s’y faire un « passeur » du Royaume. Il s’y produit une traversée du « sacré » qu’il faut apprendre à repérer. Le titre de l’ouvrage se rapporte à un Mystère de l’Un présent au cœur de nous-même.
    La Grâce de l’Amour divin y opère dans la relation concrète et les contingences incarnées de l’ amour humain. Il repose sur le nouage de trois faces de l’Un, nécessaires à analyser : l’unité ( entre les êtres), l’unicité ( liée à la traversée du « sacré »), et le processus unificateur qui apporte consistance à l’ensemble et où se découvre la face cachée de l’Un véritable.

    24,00 €
  • LE NOTRE PÈRE

    Ce commentaire du Notre Père, par Cyprien, « m'a beaucoup aidé à mieux comprendre et à mieux réciter la prière du Seigneur », a dit Benoît XVI, rejoignant par-dessus les siècles Hilaire de Poitiers, Augustin d’Hippone et beaucoup d’autres évêques qui ont admiré et utilisé ce commentaire du Notre Père qui nourrira aussi notre foi.
    Thascius Cyprianus (Cyprien) naît au début du IIIe siècle, sans doute à Carthage, la ville la plus importante de l’Afrique du Nord. Sa famille n’est pas chrétienne et c’est seulement quand il a environ 35 ans qu’il est baptisé. Peu de temps après, le peuple de Carthage le choisit comme évêque. L’époque est particulièrement difficile ; l’empereur romain Dèce a déclenché la première des grandes persécutions s’étendant à tout l’empire. À l’intérieur de l’Église aussi, l’unité est menacée (rivalités, divisions sur des questions de foi). Cyprien met toute son énergie à chercher la réconciliation, dans la vérité et la charité. L’unité est le but qu’il ne cesse de montrer.
    Alors qu’il est obligé, pendant un temps, de vivre dans la clandestinité, il continue de diriger l’Église de Carthage. Le commentaire du Notre Père date de cette époque. On y retrouve les thèmes chers à Cyprien, en particulier celui de l’unité : la discorde et l’inimitié empêchent la prière. Nous disons Notre Père parce que nous sommes un peuple uni.
    Cyprien ira jusqu’au bout de son attachement au Christ. Il est arrêté et condamné à mort. De ses lèvres jaillirent les mots que nous prononçons lorsque s’achève l’Eucharistie : « Rendons grâce à Dieu ». Il fut décapité, le lendemain, le 14 septembre 258.

    Retrouvez les autres titres:
    Vie d'Antoine d'Athanase d'Alexandrie
    Polycarpe de Smyrne, Imitateur du Christ
    J'ai soif de toi, de Augustin d'Hippone

    12,00 €
  • LE PARDON

    Face aux ténèbres, au chaos, à la haine le pardon peut sembler inaccessible, voire impossible. Violence et vengeance sont les premiers réflexes de la riposte, et elles se retournent le plus souvent contre soi, en une spirale infernale. Il est une alternative à ce cycle de destruction, un chemin étroit, mystérieux et fragile : le pardon. Le pardon ne se décrète pas, ne s’explique pas. Il est chemin, chemin de lumière, chemin de vie. Chacun des témoins répond, avec son expérience et sa sensibilité aux « pourquoi ? », aux interrogations lancinantes sur l’absurdité de la souffrance, de l’injustice, du non-sens. Ce sont des paroles d’espérance. Les intervenants : Pierre Chamard-Bois est bibliste, membre de la Communauté Mission de France, particulièrement attentif au dialogue entre croyants et non-croyants. Magda Hollander-Lafon a vécu la terrible épreuve de la Shoah. Son témoignage d’espérance est bouleversant. Jean Lavoué nous offre une profonde réflexion sur la victime pardonnante. Une vie de chaos et de deuils a conduit Jacqueline Morineau à concevoir la médiation humaniste : un chemin pour accueillir et transformer la souffrance. Une étonnante grâce de pardon habite Françoise R. depuis le meurtre de son mari. Rose Kiat & Loïc le Goff, lourdement handicapés, ont connu l’absurde de la vie. Après un chemin de conversion ils témoignent tous deux d’une joie impensable. Framboise Clausse, victime du viol, est aujourd’hui une femme épanouie et pleinement réconciliée avec son passé. Jean-Claude Têtu et Denis Roucou éclairent tous deux le thème Justice et Pardon, l’un en tant qu’ancien détenu, l’autre en tant que magistrat. Bernard-Marie Dupont, médecin, avocat, spécialiste de bioéthique, nous offre les repères philosophiques du Pardon. La dimension spirituelle du Pardon est quant à elle éclairée par Monseigneur Jacques Noyer, curé du Touquet, évêque d’Amiens, membre du Conseil pontifical pour la pastorale des migrants et des personnes en déplacement, Annick de Souzenelle, qui explore la Bible à partir de la symbolique des lettres hébraïques et s’attache à réaffirmer les lois ontologiques, Jean-Pierre Longeat, abbé émérite de Ligugé, président l’Alliance Inter Monastique, façonné par l’esprit de Taizé, Frère Jean-Michel, abbé de Landévennec et Monseigneur Gérard Defois, ancien secrétaire général de la Conférence des évêques de France, recteur de l’Université catholique de Lyon et président de la Commission « Justice et Paix ».

    20,00 €
  • LE PARI DE PÉLAGIE

    Fin 1870, Pélagie, âgée de vingt ans, vit dans la ferme familiale avec ses parents à saint Thomas de Courceriers, en Mayenne. Égarée dans les bois à la nuit tombée, elle est témoin involontaire d’une scène troublante. Son amie Amélie mise dans la confidence vient elle6même d’être sollicitée à la dernière minute pour devenir la marraine d’une enfant trouvée, Angèle qui deviendra alors leur petite protégée. Quelques années plus tard, Pélagie monte à Pari(s) dans l’espoir d’une vie moins rude. Aide6cuisinière dans un hôtel particulier, elle sympathise avec Anne, sa voisine de chambre au comportement étrange. Elle se marie avec Julien le cousin d’Amélie et ensemble, ils s’installent dans une chambre du Bas6Meudon auprès d’autres compatriotes. Rapidement enceinte, à la naissance elle se voit contrainte de confier son bébé à une nourrice au pays pour reprendre son travail à Issy. Anne alors gravement malade la fait venir près d’elle pour lui confier un lourd secret avant son départ inéluctable. Entre temps, Julien et Pélagie, effondrés, apprennent le décès de leur petit garçon. Amélie et son amie d’enfance comprennent vite qu’elles ne pourront faire face aux aléas de la vie qu’en s’appuyant l’une sur l’autre et en créant un réseau de solidarité féminine puissant autour d’Anne, Angèle et les plus faibles. Nous les suivons dans leurs pérégrinations pleines de rebondissements avec d’autres compatriotes entre la banlieue parisienne et la Mayenne.

    18,00 €
  • LE PARTAGE EN CHEMIN

    Martin de Tours part en 357 de la Gaule vers la Pannonie (Hongrie actuelle) pour revoir son pays natal. Long chemin de 2000 km. À Szombathely, il baptise sa mère, inaugurant ainsi sa vocation d’apôtre du IVe siècle et son influence sur cette Europe qui en garde la mémoire.
    L’empire romain s’écroule et « les barbares » l’envahissent. Deux mondes s’affrontent, coexistent et se mélangent de gré ou de force. L’Église passe « aux barbares ».
    Avec saint Martin de Tours s’inscrit les valeurs fondatrices d’un vivre ensemble du christianisme en une période de profonds bouleversements.
    Ce livre nous entraîne sur les pas de cette personnalité hors du commun dont nous ne connaissons souvent que la fameuse scène du partage de son manteau à la porte de la ville d’Amiens. Le récit de cette route à travers la France, l’Italie, la Slovénie et la Hongrie nous en apprend bien davantage.
    Faire ce chemin sur les pas de ce légionnaire devenu moine, c’est réfléchir aux projets fondateurs de notre propre existence. Face à la crise et aux choix de société, serons-nous condamnés à partager ? Ou devrons-nous l’accepter par choix personnel pour le bien de tous. L’écart entre riches et pauvres, l’explosion de liberté, la course à la consommation, l’inquiétude devant un avenir qui nous échappe, voilà un monde qui ressemble bien à celui de saint Martin (316-397).
    Dans cette société inquiète, une foule à la conscience bigarrée s’élance en liberté sur les « Grands Itinéraires culturels du Conseil de l’Europe ». Le chemin saint Martin de Candes à Szombathely en fait partie. Un élan de foi pérégrinante a jailli qui annonce des temps nouveaux. Les mains nues, le sac au dos et le cœur ouvert, certains veulent construire par le Partage citoyen un avenir plus humain.
    « Une société est jugée au regard qu’elle porte sur les blessés de la vie et à l’attitude qu’elle adopte à leur égard » nous a dit Jean-Paul II lors de sa rencontre à Tours avec les blessés de la vie. Il nous faut imaginer sur nos itinéraires de pérégrination un vivre autrement. Le Partage citoyen est le combat mené par le Centre culturel européen saint Martin de Tours.

    22,00 €