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Livres


  • LA TAPISSERIE DE BAYEUX

    La tapisserie de Bayeux, chef-d’œuvre du XIe siècle, est universellement connue. Cette longue broderie d’environ 70 m sur 50 cm de hauteur raconte avec force détail la conquête de l’Angleterre par Guillaume, duc de Normandie, en 1066. Si nous pouvons aujourd’hui l’admirer, c’est grâce à quelques érudits qui l’ont retrouvée au XVIIIe siècle, étudiée et mise en valeur. Antoine Lancelot (1675-1740), l’auteur de cette description, est l’un d’eux. À partir de dessins légués à la bibliothèque Mazarine, il remontra la piste jusqu’à la chapelle de la cathédrale de Bayeux où était conservée la tapisserie, que personne n’avait plus admirée depuis des décennies. Grâce à cette description élégante, érudite et minutieuse, vous pourrez revivre, au rythme de cette incroyable œuvre d’art, l’aventure de Guillaume, duc de Normandie, à la conquête de l’Angleterre.

    14,00 €
  • LA TENDRESSE DE DIEU AU CŒUR DU MONDE - Le Père André Bagnol (1922-2004)

    Le Père André Bagnol, prêtre diocésain, est l’un des contemporains des grands bouleversements politiques, sociaux, intellectuels et religieux de la deuxième moitié du XXe siècle.
    Témoin de l’évolution et de l’application dans l’Église du concile Vatican II, il espérait une Église indivise et le voilà qui assiste au schisme de Monseigneur Lefebvre en juillet 1976.
    Cet homme de Dieu a marqué plusieurs générations par son amour infini de Dieu et par sa foi chrétienne qui porte en elle-même une prodigieuse puissance d’humanisation. Il parlait de Dieu comme de la source de toute vie, de toute tendresse et de toute miséricorde. Il a bâti sa vie sur le Roc du Christ ressuscité. Il puisait sa force dans les Sacrements, la prière et l’Eucharistie qui étaient, pour lui, la Source et le Sommet de tout amour et de toute évangélisation. Il voyait dans le Sacrement du Pardon le signe de l’Amour infini de Dieu. Ce prêtre d’exception nous apparaît susceptible d’inspirer la vocation des générations nouvelles pour notre temps.

    18,00 €
  • LA TERRRRIBLE PERTE DU TRIPLE A

    Sous le regard critique de l’agence de notation Senior’s & Rate’s, la Maison de Retraite des Milfouillies risque de perdre son triple A*. Judicieusement conseillé par Price & Costkilling, Oscar Mouche, le directeur, doit réagir, et vite ! Hélas, ce n’est pas sa délicieuse épouse, Yvette rebaptisée Cécilia (allez savoir pourquoi), qui va pouvoir l’aider. Heureusement, il est épaulé par une fine équipe. Il y a Marie-Miette, l’adjointe qui rêve de prendre la place du directeur ; Luc-Henri, le directeur financier peu disposé, hélas, à truquer les comptes ; Paul, le DRH, qui rêve, lui, de prendre la place de Franckie, l’animateur des thés dansants ; Manu, l’infirmier coordinateur délégué CGT. Oscar Mouche recevra également l’aide précieuse de Manman, poussée vers la maison de retraite la mort dans l’âme. Réussiront-ils à sauver le triple A ? Pourront-ils préserver le havre de paix des petits vieux en déambulateur ? Drôle, impertinent, politiquement incorrect, ce roman vous réjouira.


    * Toute ressemblance avec la gestion de la crise par un pays bien connu serait-elle purement fortuite ?

    20,00 €
  • LA TRADITION Mère de Vatican II

    Ce livre présente d'abord brièvement l'univers des "traditionalistes" (leur histoire, leurs croyances, leurs références, leurs espérances), en insistant particulièrement sur les critiques qu'ils adressent à l'Église catholique. Il répond ensuite, point par point, à leurs principales objections : la "nouvelle messe", la "rupture du concile Vatican II", le dialogue interreligieux, l'humanisme, la liberté religieuse, etc. À partir de références anciennes et consacrées, l'ouvrage montre que les arguments des autoproclamés "tradi" n'ont en réalité absolument rien de traditionnel et ne peuvent qu'aboutir au schisme.

    22,00 €
  • LA VIE À SAINT-DOMINGUE AU DÉBUT DU XIX° SIÈCLE (tome 2)

    Lettres de mes ancêtres :
    l'histoire d'une famille française à travers sa correspondance
    une série en 4 tomes


    Pierre Étienne Gombault, modeste employé de mairie à Orléans au début de la révolution, père de quatre enfants, dont un estropié, et ayant du mal à faire vivre sa famille décide, embobiné par un escroc, de partir faire « fortune » à Saint Domingue. Il ne survivra pas à la Révolution de Toussaint Louverture et à la naissance d'Haïti première colonie fançaise. Il perdra ses dernières économies et finira massacré en 1804 à Cap Haïtien, comme la quasi-totalité des blancs, lors de la célèbre insurrection.
    Mais ses lettres (1789 – 1804) concernant son voyage à travers la France jusqu’à son embarquement, la traversée de l’Atlantique, et les quatre années sur place nous permettent de l’accompagner dans sa vie dans la plus riche des colonies françaises à l’époque, puis suivre sa descente aux enfers .
    En 1807, 3 ans plus tard, sa femme recevra une lettre la prévenant qu’il a été tué par des « cannibales » (sic). Une aventure personnelle incarnée dans la « Grande Histoire ».

    17,00 €
  • LA VIE À SAULIEU Morvan en Côte d'Or au milieu du XIX° siècle - tome 3

    Lettres de mes ancêtres :
    l'histoire d'une famille française à travers sa correspondance
    une série en 4 tomes


    Au début du Second Empire, découvrons la correspondance de Julie Blondeau dont la plupart des lettres ont été écrites depuis La Roche-en-Brenil et Saulieu, communes de Côte d’Or située dans le Morvan.
    Cette correspondance témoigne de 1838 à 1904 d’une certaine aigreur, voire d’une âpreté, dans les relations familiales, exacerbée par la gêne financière dans laquelle se trouve le couple Blondeau-Gombault, et qui se termine en brouille générale. Néanmoins on partage la tendresse tout de même de Julie pour son père et sa mère, malgré le peu d’entente de son mari avec ses parents. Le jeune Henri, que l’on voit grandir au fil des pages, apporte une touche de bonne humeur, de gaieté, de santé. Il va devenir un librettiste d’opérettes très célèbre à son époque.
    Elle nous fait vivre les déplacements et les péripéties de son cheval et l’importance de l’homme qui conduit la diligence pour Paris. Certes les ennuis d’argent et les mésententes conjugales sont toujours présents en toile de fond. toile de fond.

    20,00 €
  • LA VIE CACHÉE - Thérèse de Lisieux

    Être petit, c’est reconnaître son néant, attendre tout du bon Dieu comme un petit enfant attend tout de son père ; c’est ne s’inquiéter de rien. Être petit, c’est encore ne point s’attribuer à soi-même les vertus que l’on pratique, se croyant capable de quelque chose, mais reconnaître que le bon Dieu pose ce trésor dans la main de son petit enfant pour qu’il s’en serve quand il en a besoin ; mais c’est toujours le trésor du bon Dieu. Enfin, c’est de ne point se décourager de ses fautes, car les enfants tombent souvent, mais ils sont trop petits pour se faire beaucoup de mal. »
    À travers l’ouvrage de Dominique Blain, Sainte Thérèse nous aide à cheminer pas à pas vers Celui que l’on ne peut trouver qu’en se dépossédant de soi-même. Son apostolat se traduit par « une vie entièrement vouée à l’amour », nous dit-elle. Pour Thérèse, il n’y a pas plus grand amour que d’offrir sa vie à Celui qu’on aime, et d’être, non pas ce que nous voulons être, mais ce qu’Il veut que nous soyons. Bien au-delà d’une vie de souffrance où le combat tient une place prédominante, Thérèse nous dévoile la joie intérieure qui l’a portée durant toute son existence.

    14,00 €
  • LA VIE D'UN MILITAIRE DE LA FIN DU XIXe A LA FIN DE LA GUERRE 14-18 - tome 4

    La correspondance du colonel Edmond Ponsignon va de 1859 à 1949. Outre les documents issus des Archives Militaires de Vincennes, sont regroupé ici de longs extraits du journal de marche de son régiment et les très nombreuses lettres adressées, à son fils et à sa belle-sœur. D’abord du début du XXe siècle à 1914, avec force détails sur la grève des mineurs du Nord en 1902, Puis pendant la guerre de 14/18 où il sera très sérieusement blessé. Ces correspondances seront enrichies des échanges avec sa belle-sœur – Eugénie Riu – elle-même infirmière major dans les hôpitaux militaires, et avec son fils pratiquant la radioscopie dans un hôpital proche du front. Ces lettres font le portrait de nombreux blessés passant et souvent mourant dans les services; ce sont des descriptions de première main. Elles sont impressionnantes de bruit, de sang, de souffrance, d’héroïsme, parfois de lâcheté, et souvent de cruauté. Quand elles ne décrivent pas les blessés, elles expriment les difficultés à faire travailler en bonne intelligence et donc avec efficacité un corps d’infirmières hétérogènes : religieuses, bénévoles de la Croix Rouge et jeunes infirmières militarisées et donc rétribuées.

    22,00 €