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Livres


  • L'ORDRE DE GRANDMONT - Les textes fondateurs

    Grandmont ! Le mot évoque pour certains un vieux bâtiment, les ruines du prieuré des « Bonshommes » où pousse aujourd’hui l’herbe folle… Grandmont fut pourtant l’incroyable aventure de ces hommes de Dieu qui, née à l’époque de saint Bernard, devait durer jusqu’à la Révolution. Tout commence dans le cœur d’un jeune noble auvergnat, Étienne, éduqué dès son enfance par un saint évêque et enthousiasmé par l’exemple d’un groupe d’ermites calabrais à l’ascèse aussi admirable que redoutable. Rentré au pays, Etienne veut pratiquer ce genre de vie radicalement évangélique, sur le modèle des Pères du désert. Il s’installe sur la colline boisée de Muret, en pleine solitude, à quelques lieues de Limoges. Pratiquant une rigoureuse pauvreté qui annonce saint François d’Assise, l’ermite attire par sa sainteté et son accueil fraternel. Le voici bientôt entouré de disciples qui peupleront une bonne partie de la France d’autrefois et même plusieurs pays d’Europe. Avec ces trois textes fondateurs : la Vie d’Étienne de Muret, la Règle de Grandmont et le Livre des Sentences, c’est la folle intuition de ce jeune ermite qu’on retrouve à travers ce que ses disciples ont conservé de son enseignement et surtout de ses exemples. Un cri évangélique dans une chrétienté trop sûre d’elle-même !

    20,00 €
  • L'UNITÉ DE L'ÉGLISE

    Qu’est-ce que l’Église ? parler d’unité quand les divisions sont si apparentes semble illusoire ou utopique. Cyprien de Carthage, dans un 3e siècle déchiré par des luttes de toutes sortes, pose sans naïveté la question de l’unité qui est en dieu : l’Église catholique (c’est-à-dire universelle) est une parce que « son unité vient de cette unité en dieu, et elle est liée au mystère du Ciel. Si on croit cela, est-ce qu'on peut la diviser, la déchirer par des disputes ? » Oui, mais les divisions existent, on ne peut le nier : d’où viennent-elles ? Sans éluder le problème, Cyprien en pointe sans concession les causes les plus manifestes.

    12,00 €
  • LA 5° CAVALIÈRE DE L'APOCALYPSE

    La Cinquième Cavalière est un livre axé sur la relecture des événements marquants du XXe et du XXIe siècle où, entre autres analyses, les quatre grands phénomènes destructeurs sont chacun associés à l’un des Cavaliers de l’Apocalypse.
    Les grandes tensions que le monde traverse aujourd’hui sont pour une partie considérable liées au lien qu’entretient l’être humain avec la transcendance. Partant du constat d’une survalorisation du principe masculin dans les religions traditionnelles comme dans la culture dominante, l’auteur nous propose ici une mise en lumière stimulante du principe féminin dont la Cavalière se veut le symbole…

    18,00 €
  • LA BACHELETTE - Dans le Haut Bocage vendéen au cœur du XVIIIe siècle

    De la Pentecôte à la Trinité de cette année 1738, la petite ville de Maulévrier va vivre intensément les fêtes de la Bachelette qui constituent à l’époque un des temps forts de l’année.
    Pierre, le gars de la Fromentinière, va profiter de son élection au titre de “roi des bacheliers” pour dévoiler la passion qu’il voue à Catherine Duverdeau, la fille du garde principal du comté.
    Mais la tradition familiale veut qu’un fils de paysan prenne femme dans son milieu. Là commencent les difficultés pour ce garçon plein de franchise et de droiture qui n’aurait jamais pensé un instant entrer en conflit avec son père, chef incontesté de la famille.
    Ce roman nous fait entrer de plain pied dans la vie du Bocage vendéen au XVIIIe siècle : rude, mais pas tant que ça ; calme, mais jalonnée tout de même d’événements imprévus.

    18,00 €
  • LA BARQUE ROUGE

    2016 : 160e anniversaire des inondations

    Qui ne connaît pas le célèbre Rouget le braconnier? on connaît peut-être moins La Barque Rouge.
    Il y a cent ans, ce feuilleton connut un succès sans précédent auprès des lecteurs qui retrouvaient dans ces lignes les angoisses et les drames que venaient de vivre les Valleraux surpris par l’ampleur de l’inondation de 1856. Inondations dantesques dont on retrouve les traces aussi bien dans le paysage de la vallée que dans la mémoire collective.
    Cette année-là, c’est la levée qui se rompt sous la pression des eaux du fleuve royal, à La Chapelle, c’est le drame de Longué avec l’acte héroïque de l’abbé Massoneau, c’est la plaine inondée de Beaufort, le bruit d’enfer de la Loire se précipitant dans les mines d’ardoises de Trélazé... la ruine, la mort.
    Il était difficile à l’aïeul d’Hervé Bazin, au beau-frère de rené Bazin d’inventer une histoire sur cette trame dramatique: il en fit un chef-d’oeuvre.

    En fin de volume : récit détaillé de la marche des eaux pendant les premier jours de juin 1856, prétexte à l’intrigue de ce grand roman régionaliste et 14 gravures rares de l’époque des faits.

    22,00 €
  • LA BEAUTÉ

    « Toi qui es un sage, qui cherche tout ce qui est Beau.. alors saisis l'amour. Il est si proche de Dieu » Jacques de Saroug (moine évêque et poète syrien 6e siècle)

    Qui n'a pas un jour découvert la Beauté à travers la création, les créatures, l'oeuvre de l'homme, ou même sa manière d’être, et est resté sans voix ressentant parfois une paix intérieur inconnue... voir une communion d'amour ?

    Mais qu'est-ce-que la Beauté?

    Y en a-t-il plusieurs "sortes" ? Est-elle objective? Subjective? Peut-elle sauver le monde comme l’affirme Hippolyte dans L'Idiot de Dostoïevski. A-t-elle des liens avec la vérité, la simplicité, l'humilité, l'amour ? Beauté et Écologie intégrale peuvent s'accorder ?

    Et si la Beauté était un chemin... une rencontre...

    Saint Augustin avoue l'avoir cherchée !

    Dans le livre de la Genèse nous lisons que Dieu s'émerveille: « Et Dieu vit que cela était bon (twov en hébreu) » Ce mot "twov", intraduisible en français, signifie à la fois bon, beau et bien. André Chouraqui le traduit par « quel bien !» Alors la Beauté : un chemin vers qui? Une rencontre de qui?

    10,00 €
  • LA BIBLE DES PAUVRES

    EN SOUSCRIPTION


    La préface de la Bible des pauvres , rédigée par Christian HECK, spécialiste reconnu d’iconographie médiévale, souligne d’emblée l’intérêt de cet ouvrage : « La reproduction au format original des quarante planches de la Biblia Pauperum, telle qu’elle se présente dans une impression xylographique* des années 1460, et avec l’ajout de la transcription du texte latin, de sa traduction française et d’une série de commentaires et d’annexes, est une réalisation qu’il faut saluer, car cet ouvrage central de la littérature typologique apporte au lecteur d’aujourd’hui des clefs essentielles pour la compréhension de la spiritualité comme de la création artistique du Moyen Âge. »

    Les quarante planches étudiées ici forment un recueil d’images commentées qui reproduit principalement des épisodes bibliques, mettant sur chaque page une scène de la vie du Christ en correspondance avec deux moments de l’Ancien Testament qui en constituent des préfigures.
    L’appellation « Bible des Pauvres » est tardive et ne rend compte ni du contenu, ni des destinataires. A certains égards celle-ci peut être considérée comme une sorte de récapitulation des Écritures puisqu’elle présente la vie du Christ comme leur accomplissement, permettant à des clercs comme à des laïcs d’accéder à une connaissance plus profonde des Écritures.

    Grâce à son édition sous forme d’un livret inséré dans l’ouvrage, le fac-similé en couleurs de ces planches (conservées au Musée Condé de Chantilly) peut être facilement consulté à tout moment de la lecture.

    Fruit d’un long travail et de la collaboration étroite d’une équipe, l’idée de cette publication revient à sa « cheville ouvrière », Françoise Chêneau.
    Le médiéviste Jean-Paul Deremble, dans une introduction très fournie, nous offre une présentation historique, artistique et théologique de ce chef-d’œuvre de la spiritualité médiévale.
    Pour ceux qui souhaitent en approfondir le caractère spirituel et méditatif, le Père Pierre Olry sj, suggère quelques conseils pour prier avec la Bible des pauvres.

    Le lecteur peu familier de la Bible pourra trouver l’ensemble des textes bibliques qui constituent la source des images représentées sur les planches. Le rappel de l’histoire biblique avec une notice biographique de chacun des personnages représentés dans l’ouvrage sera également une aide précieuse.

    Après ce parcours le lecteur accèdera à la traduction française , réalisée par une moniale dominicaine de Prouilhe suivie de la transcription, latine, dûe au P. Georges Passerat, de l’ensemble du texte de la Bible des pauvres, que complètent de nombreuses notes.

    En annexe, le P. Georges Passerat traite de la question sensible de l’antijudaïsme de la Bible des pauvres, qui peut heurter à première lecture. Trois tables concluent l’ouvrage.

    * Impression au moyen de bois gravé

    Prix promo 22,00 € Prix normal 26,00 €
  • LA BONNE NOUVELLE ANNONCÉE AUX PAUVRES - Commentaire de la finale du grand Isaïe

    Les onze derniers chapitres du grand recueil du Prophète Isaïe forment une unité littéraire assez homogène. Les oracles qui s’y trouvent, furent rassemblés après l’Exil babylonien. Ils forment un manifeste original où retentit une voix ouverte à l’universel, à l’inclusion des marginaux et même des exclus. Ces textes jouent un rôle prépondérant dans la liturgie chrétienne, notamment autour de la fête de l’Épiphanie, et connaissent déjà dans le Nouveau Testament une répercussion remarquable par de nombreuses citations et allusions. Jésus lui-même se reconnaît dans cette ouverture quand il reprend l’oracle : « Ma maison sera une maison de prière pour tous les peuples » (Is 56,7, cité en Mc 11,17). Il a conscience qu’avec lui se réalise « l’annonce de la Bonne Nouvelle aux pauvres » (cf. Is 61,1 ; cf. Lc 7,22). Trois des quatre béatitudes lucaniennes, parallèles en Matthieu 5, sont tirées des oracles de ce livret isaïen. La spiritualité qui habite ces chapitres annonce celle qui domine dans l’ouverture des évangiles. Le commentaire valorise ces liens et offre une lecture contemporaine de cette petite cathédrale sur laquelle s’achève le grand livre d’Isaïe. Alors que les contemporains vivaient une dépression collective, le rédacteur de ce dernier recueil vient, au nom de Dieu, nourrir l’espérance. Cela nous affecte tout autant.

    12,00 €