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Livres


  • L'ALLÉE DES MARRONNIERS

    Le récit de la vie d’un collégien exilé dans un pensionnat catholique de 1961 à 1967 au creux de la campagne angevine, entre le Haut-Anjou et le pays breton. Il n’est pas cité, mais il s’agit du collège de Combrée, en Maine-et-Loire. De nombreux anciens élèves pourront s’y reconnaître, mais pas seulement. À travers cette chronique aux accents du vécu et de l’imaginaire, nous sommes dans la tête d’un enfant, puis d’un adolescent, aux frontières du rêve et des grandes espérances. L’auteur est « libéré » juste avant que n’explose l’insurrection d’un certain mois de mai. Personne n’a rien vu venir, mais tous y aspiraient sans le savoir. Au fil de cette chronique, se déroule la vie de jeunes cloîtrés d’un autre temps, confrontés à la rudesse de l’éducation. Nous sommes au coeur de ce que l’on a appelé les « trente glorieuses » dont c’est ici un peu la face cachée, entre dortoir et réfectoire, 203 Peugeot et Frégates, soutanes et clergymen, cafard et troublantes lueurs de l’avenir.

    18,00 €
  • L'ÂME - Irénée, Plotin, les Gnostiques

    La question de l’âme a nourri la pensée philosophique grecque comme elle a alimenté dès la naissance du christianisme, de nombreux débats : qu’est-ce que l’âme humaine ? Quelle est son identité propre ? Qu’en est-il de son immortalité et quel est son rapport au corps et à l’esprit ? Ce thème prend une acuité exceptionnelle dans la pensée des Pères de l’Église notamment chez Irénée de Lyon. Il est question de la polémique de la Grande Église contre les Gnostiques, mais aussi contre le philosophe grec Plotin. C’est donc avec Irénée de Lyon, Plotin et les Gnostiques que nous allons cheminer pour une meilleure compréhension de l’« âme humaine » à partir de plusieurs de leurs traités.

    18,00 €
  • L'AMITIÉ À L'ÉPREUVE DE LA DIVERSITÉ - Pierre le Vénérable - Bernard de Clairvaux - Correspondance

    On a trop souvent réduit les relations du IXe abbé de Cluny avec saint Bernard à la polémique qui a opposé au XIIe siècle les bénédictins aux cisterciens, témoins du « nouveau monachisme ». En réalité les deux hommes ont connu une profonde et authentique amitié qui s’est fortifiée et purifiée à travers ces tensions mêmes, voire ces réelles divergences. Les deux plus longues lettres de cette correspondance sont en fait de véritables traités spirituels où Pierre le Vénérable expose son herméneutique de la Règle et donc de tout texte considéré comme inspiré. Au fil des pages, le lecteur découvrira également quantité de détails historiques sur la vie des moines au Moyen Age, période de renouveau du charisme monastique et sur la chrétienté de l’époque. Au-delà, ces lettres retracent l’évolution d’une relation qui a su devenir de plus en plus fraternelle en assumant la franche diversité de ces deux hommes de Dieu.

    18,00 €
  • L'AMITIÉ DANS LA BIBLE

    Curieusement, à notre surprise à tous, l’amitié n’est pas un thème biblique central. Bien des encyclopédies qui traitent de toute la Bible n’ont pas, comme porte d’entrée : « l’amitié », « die Freundschaft », « Friendship » ! Et si l’on se concentre sur le mot comme tel, on ne le retrouve que rarement. Ainsi dans tout le Nouveau Testament le mot grec philia qui dit justement « amitié », n’apparaît qu’une seule fois et encore dans un sens avant tout péjoratif : « Ne savez-vous pas que l’amitié envers le monde est inimitié contre Dieu » (Jc 4,4) ! Mais l’absence du mot ne signifie pas encore l’absence de la réalité ! Ce fut pour moi une recherche passionnante d’examiner d’abord dans le Premier Testament, puis dans le Nouveau tout ce qu’on vit et pratique comme amitié. Qu’en pensent les prophètes, les sages, les milieux sacerdotaux ? Comment Paul, Luc, Jean s’y retrouvent-ils ? Et Jésus lui-même ? Partons en excursion et découvrons les fleurs de l’amitié dans ce qui au premier abord avait l’allure d’un désert. Or chacun sait que la moindre fleur dans le creux d’un rocher après de longues promenades arides au désert, est une grande joie !
    Amitié et fraternité, en dialectique constante. Thème grec entré progressivement dans la révélation biblique et bien assimilé dans le milieu chrétien ultérieur. Aujourd’hui encore bien des milieux rêvent d’une Église d’amis, avec réciprocité dans la confiance et la transparence. « Elle coûte aux yeux du Seigneur la mort de ses amis » (Ps 116,15).

    18,00 €
  • L'AMOUR DE DIEU

    Entre tous les écrits de saint Thomas de Villeneuve, il y a le Traité de l’amour de Dieu. Un texte majeur arrivé jusqu’à nous sous deux formes : sous la forme de trois sermons et sous la forme d’un livre. Dans ce Traité de l’amour de Dieu Saint Thomas de Villeneuve fait comme une sorte de synthèse de sa doctrine spirituelle. En réalité tous ses autres écrits ne font que développer la doctrine spirituelle contenue dans ce livre. La doctrine exposée dans ce petit livre est fondée sur saint Augustin et saint Bernard.
    C’est la raison pour laquelle, il nous a paru pertinent d’ajouter sous forme de notes de pied de page, les textes parallèles de saint Augustin et de saint Bernard. Il est doublement essentiel de faire connaître ce Traité de l’Amour de Dieu aux chrétiens d’aujourd’hui : la première est la haute spiritualité, cependant abordable, du contenu ; la seconde que les démarches pour la reconnaissance de saint Thomas de Villeneuve comme Docteur de l’Église sont aujourd’hui très avancées à Rome.

    18,00 €
  • L'AMOUR QUI NE MEURT PAS

    «De façon inattendue et contradictoire, le décès de mon fils m’a renvoyée à la demande que j’avais faite à l’âge de cinq ans. À l’occasion d’une promenade familiale dans la forêt de Mervent, en Vendée, je suis tombée à genoux dans une grotte où, m’avait-on dit, se réalisait ce que l’on demandait. Dans cette grotte où avait vécu le Père Grignon de Montfort, j’ai demandé de connaître « l’amour qui ne meurt pas », pensant que si on perdait l’amour après l’avoir connu, cela devait être pire que de ne jamais le connaître. C’est dans le creuset de ma douleur de mère que j’ai découvert la profondeur de l’amour divin – qui dépasse toute connaissance » (Éph 3, 1421) – et transforme l’épreuve en espérance.

    15,00 €
  • L'ANGE DE COMPOSTELLE

    L’auteur, pèlerin au long cours, part seul à pied sur une route de 2000 kilomètres qu’il boucle en soixante-deux jours. dans cette quête de sens, à l’écoute de la Bible et des ancêtres du chemin, tant de pensées vont se dire de Paris à Vézelay, de Saint-léonard- de- Noblat à roncevaux, de Burgos à Santiago.
    Toutes les étapes sont improvisées. Les aventures se succèdent, inattendues, savoureuses, parfois austères et ascétiques. Le routard sait rire de lui-même alors que la pluie, le froid, la chaleur ou le rejet des autres l’accablent. Seul ? oui, mais mystérieusement accompagné de Raphaël, l’ange de Tobie, qui va le harceler de questions et lui prodiguer courage et humour pour achever l’improbable cheminement de sueur et de prière. en accomplissant son rêve de foi, il satisfait son désir d’une rencontre avec lui-même et avec Quelqu’un. L’ange est la figure médiatrice entre le marcheur et l’invisible qui l’aimante. Avec l’ange, le terme du pèlerinage se goûte déjà au long du chemin. la marche devient le but, parce que la joie spirituelle est dans le mouvement complice de l’âme et du corps. vivre c’est faire marcher l’âme de son corps sur la terre de Dieu.

    20,00 €
  • L'ANIMAL DANS LE COEUR DU CHRIST

    Si la souffrance est l’épreuve la plus bouleversante que l’homme ait à connaître, elle est aussi familière au reste de la Création qui gémit dans l’attente de sa délivrance (Rm 8, 19-23). La mort physique reste un phénomène universel pour l’ensemble des créatures voulues par Dieu. Aussi la perte d’un animal de compagnie peut amener à s’interroger sincèrement sur son devenir après la mort. S’il ne fait aucun doute pour le chrétien que le Christ est le sauveur de l’humanité, qu’en est-il de la gent animale ?
    Confrontée au départ de son fidèle compagnon à quatre pattes, l’auteure se met en quête de trouver des éléments de réponse à ses interrogations dans les Saintes Écritures. Le présent ouvrage propose ainsi une réflexion chrétienne réconfortante, qui amène à découvrir davantage le visage du Christ Roi de l’Univers, comme origine et principe aimant moteur de toute la Création. Il ouvre la voie au lecteur à une « écologie spirituelle », où l’on découvre au final comment l’homme créé à l’image de Dieu peut se révéler un vecteur du Salut, non seulement pour le règne animal mais pour la Création tout entière, en devenant cet « esprit vivifiant » (1 Co 15, 45) auquel il est appelé.

    15,00 €