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Livres


  • CELUI QUI T'A CRÉÉ T'A RECRÉÉ

    Les mystères de la mort et de la résurrection du Christ sont le fondement de la foi chrétienne : « Si le Christ n’est pas ressuscité vaine est votre foi » (1 Co 15, 17) dira saint Paul.
    Or, pour saint Augustin la passion et la mort du Christ sur la croix ne se réduisent pas exclusivement aux événements eux-mêmes. Il nous faut connaître leur sens, leur pourquoi. En effet, Saint Augustin après avoir exposé les multiples souffrances du Christ sur la croix se pose la question sur le sens de ces souffrances. À plusieurs reprises il se demande « pour quoi » tant de souffrances. En effet, chaque fois que la souffrance nous prend, plus que le remède à ces souffrances nous nous questionnons sur leur sens et, quand nous arrivons à connaître le sens de notre souffrance, dans une certaine mesure, nous la supportons mieux, l’angoisse et l’inquiétude disparaissent et nous commençons à vivre avec espérance. Il n’y a pas de souffrance corporelle ou spirituelle qui ne nous pousse pas à nous poser la question de son « pour quoi ». « S’il y avait quelqu’un au-dessus de nous, il mériterait d’être puni ». Cette imprécation désespérée résume tout le scandale de notre monde en face de la souffrance et du mal. Personne dans sa vie n’échappe au rendez-vous du mal. Le monde nous propose des solutions, des apaisements théoriques, des révoltes devant l’absurde ou la fuite. Pour le chrétien, si Dieu a voulu ce monde, le scandale de l’existence du mal redouble notre incompréhension, et l’on doit récuser toutes les réponses. Alors pourquoi ? Pourquoi le mal ?
    Et qu’est-ce qui à la fin sera plus fort que lui ? Ce livre n’apporte pas de recettes mais le sel qui les élève toutes à la hauteur de la Joie.

    $17,00
  • CET AMOUR INCONNU D'OÙ MONTE LA PAROLE

    Ce recueil poétique dévoile une dimension essentielle de la parole humaine qui ne consiste pas à dire mais à faire entendre la force de présence des choses les plus humbles dans leur ouverture sur la transcendance. Tel est l’enjeu d’une « poétique de la Présence » où « parler n’est pas représentation mais mise en présence de la Vie». La poésie prête voix à ce qu’il y a de plus originel et d’ultime : la Vie en tant que Présence absolue qui est l’Amour même.
    J’ai cherché un verbe qui laisse parler les nuances infinies de la Vie. Un verbe où respire la voix musicale des choses, où vibre le vol de l’oiseau, où murmure l’imperceptible mouvement que font les fleurs en s’ouvrant aux premiers rayons du soleil, où tinte sans bruit l’écume qui expire entre deux vagues à l’unisson avec la mouette reprenant son souffle entre deux cris. J’ai cherché un verbe qui n’exclut rien, familier de la nuit, capable de veiller au chevet de celui qui meurt seul. Un verbe toujours vivant comme l’enfance, qui console la douleur et ne blesse jamais le silence. L’écriture est ici la trace d’un contact avec le mystère d’un Amour ineffable d’où monte la parole poétique.

    $17,00
  • CETTE ÉGLISE QUI VOUS EST CONFIÉE Correspondance de Pierre le Vénérable avec les Papes et les Évêques

    La correspondance de Pierre le Vénérable avec les trois papes qu’il a connus et avec une vingtaine d’évêques est d’abord une page d’histoire de l’Église et de la papauté de première main qui n’avait jamais été traduite intégralement. Loin de tout formalisme, Pierre sait entretenir, même avec les pontifes romains, une relation certes emprunte de déférence, mais toujours vraie, directe, cohérente avec leurs responsabilités respectives. Sa correspondance avec les évêques est plus nuancée, car un certain nombre d’entre eux sont d’anciens clunisiens et parfois de véritables amis. Avec ces derniers, on retrouve le ton qu’il employait avec saint Bernard, franc et toujours juste. Avec les autres, il intervient souvent pour défendre la cause de Cluny face aux attaques auxquelles se livre une partie du haut clergé contre la célèbre congrégation, parfois jugée quelque peu suffisante. Mais ces lettres témoignent avant tout du sens très élevé de l’Église qui habite le cœur de Pierre le Vénérable et de la conscience de sa responsabilité pastorale, quitte à la rappeler aux plus hauts dignitaires: «Cette Église que Dieu vous a confiée... » : un rappel qu’aucun chrétien ne saurait négliger, surtout de nos jours.

    $20,00
  • CHANTER LA VIERGE MARIE - Le renouveau du culte marial et ses transcriptions musicales dans l'Ouest de la France au Second Empire

    L’ouvrage s’attache à expliquer sous quelles formes artistiques, le culte marial se développe dans l’ouest de la France au sein des milieux religieux. En se concentrant sur les productions musicales, l’auteur tente d’en comprendre le rayonnement et la portée au cours du Second Empire.
    D’une étude de cas portant sur l’abbé Wulfran Moreau, professeur au petit séminaire de Montmorillon, l’étude s’est généralisée aux compositions d’autres prêtres de l’ouest de la France, ayant réalisé des compositions semblables.
    Le Second Empire est une période de développement du culte de la Vierge Marie, laissant foisonner la créativité des prêtres.
    Une grande piété et dévotion en résultent, portées par les Institutions religieuses, la presse ainsi que la baisse des coûts des productions culturelles.
    L’objectif est donc d’inscrire le culte marial dans son époque, d’en comprendre le ressenti historique et donc le vécu des prêtres, des pèlerins, des fidèles tout comme des personnes portant un regard extérieur à la foi catholique.
    Qu’est-ce que des cantiques à la Vierge peuvent nous apprendre sur l’époque à laquelle ils ont été composés ?

    $16,00
  • CHANTEZ AU SEIGNEUR — Prier les Psaumes tout simplement

    Avez-vous lu les Psaumes ? Vous êtes-vous déjà risqué à cette aventure ? car c’en est une ! Peut-être même, désarçonné par ces poèmes rudes au langage quelque peu étranger, avez-vous refermé le livre, découragé ? Et pourtant, que de poésie, que de sensibilité, que de ferveur dans ces textes datant de deux mille ans… Pour les apprécier, comme d’ailleurs pour apprécier une personne, il faut un long compagnonnage, une familiarité qui peu à peu s’installe et s’approfondit. Cet ouvrage voudrait aider son lecteur à entrer dans cette rencontre. Après quelques pages d’introduction, une trentaine de psaumes sont proposés : texte dans la traduction liturgique, bref commentaire, explication d’un mot important pour la compréhension du psaume, et enfin texte d’un auteur, ancien ou plus récent. Une dernière partie propose quelques pistes pour « prier les psaumes ». Peut-être, après la lecture de ce livre, souhaiterez-vous faire la connaissance des cent vingt psaumes qui n’y figurent pas ? Tel est notre souhait le plus cher.

    $17,00
  • CHARLES de FOUCAULD - Amitiés croisées

    Actes d’une journée d’études organisée par l’Université Catholique de l’Ouest d’Angers,
    cet ouvrage collectif pose un regard neuf sur Charles de Foucauld, à travers sa formation
    .
    Appelé vicomte Charles de Foucauld, Père de Foucauld ou frère Charles de Jésus, il inspire aujourd’hui la vie de nombreuses personnes ; il a été béatifié par l’Église catholique en 2005. Nous commémorons en 2016 le centième anniversaire de sa mort à Tamanrasset (Algérie).
    Charles de Foucauld fut successivement officier de cavalerie, géographe explorateur du Maroc, prêtre hôte des Touaregs musulmans du Hoggar et auteur de travaux ethnolinguistiques universellement reconnus sur ce peuple du Sahara algérien.
    En 1878-1879, après Saint-Cyr, il achevait sa formation d’officier à l’Ecole de cavalerie de Saumur.
    C’est aux cartes du comte Henry de Castries que Foucauld eut recours pour préparer son voyage d’exploration du sud marocain et à ses talents de cartographe, lorsqu’il eut à rendre compte de son itinéraire. C’est à lui qu’il confiera les prémices de son retour à la foi catholique. Islamologue, historien du Maroc, conseiller général de Maine-et-Loire pendant plusieurs décennies, Henry de Castries était le gendre du général Lamoricière et résidait une grande partie de l’année en Anjou au Chillon dans le Louroux-Béconnais. La correspondance de Foucauld qu’il avait fidèlement conservée fut la première éditée en 1938.
    C’est René Bazin, académicien, angevin, auteur d’une biographie de Foucauld maintes fois rééditée, de 1921 à 2002, qui a fait connaître Charles de Foucauld et lui a suscité un grand nombre de disciples. Ludovic Girault, père blanc, l’un des premiers missionnaires de l’Ouganda, condisciple angevin de Bazin, a eu un rôle majeur dans la décision et la documentation de l’écrivain.
    Une association de prêtres diocésains s’inspirant de la spiritualité de Charles de Foucauld s’est constituée au début des années 1950 ; Guy Riobé, prêtre du diocèse d’Angers et futur évêque d’Orléans, fut l’un de ses initiateurs et son premier secrétaire général. A cette fonction il a contribué à forger l’originalité de cette branche sacerdotale dans la postérité multiforme de Charles de Foucauld.

    $20,00
  • CHARLES DE FOUCAULD Le temps de l'incroyance (tome 2)

    Le jeune lycéen s’attache à ses maîtres. Qui sont-ils, que sont-ils devenus? Narcisse Michaud qui rêvait à la lune; Paul Dumont, omniscient, fondateur d’une des premières associations d’étudiants ; Mathias Hémardinquer, professeur israélite; l’ambitieux M. Zeller, professeur d’histoire et géographie; M. de Roche qui n’a jamais quitté Nancy. C’est ensuite Saint-Cyr où Charles s’ennuie. Charles fait l’expérience des séparations et de la mort, après Strasbourg, il faut quitter Nancy, et Louÿe. La mort c’est celle d’Hémardinquer, celle de Michaut et encore plus affreuse, celle de Bon Papa. Immense la peine de celui qui reste seul et que la camaraderie de Saumur et Pont-à-Mousson est impuissante à consoler.

    $22,00