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  • L'AMITIÉ DANS LA BIBLE

    Curieusement, à notre surprise à tous, l’amitié n’est pas un thème biblique central. Bien des encyclopédies qui traitent de toute la Bible n’ont pas, comme porte d’entrée : « l’amitié », « die Freundschaft », « Friendship » ! Et si l’on se concentre sur le mot comme tel, on ne le retrouve que rarement. Ainsi dans tout le Nouveau Testament le mot grec philia qui dit justement « amitié », n’apparaît qu’une seule fois et encore dans un sens avant tout péjoratif : « Ne savez-vous pas que l’amitié envers le monde est inimitié contre Dieu » (Jc 4,4) ! Mais l’absence du mot ne signifie pas encore l’absence de la réalité ! Ce fut pour moi une recherche passionnante d’examiner d’abord dans le Premier Testament, puis dans le Nouveau tout ce qu’on vit et pratique comme amitié. Qu’en pensent les prophètes, les sages, les milieux sacerdotaux ? Comment Paul, Luc, Jean s’y retrouvent-ils ? Et Jésus lui-même ? Partons en excursion et découvrons les fleurs de l’amitié dans ce qui au premier abord avait l’allure d’un désert. Or chacun sait que la moindre fleur dans le creux d’un rocher après de longues promenades arides au désert, est une grande joie !
    Amitié et fraternité, en dialectique constante. Thème grec entré progressivement dans la révélation biblique et bien assimilé dans le milieu chrétien ultérieur. Aujourd’hui encore bien des milieux rêvent d’une Église d’amis, avec réciprocité dans la confiance et la transparence. « Elle coûte aux yeux du Seigneur la mort de ses amis » (Ps 116,15).

    18,00 €
  • L'AMOUR DE DIEU

    Entre tous les écrits de saint Thomas de Villeneuve, il y a le Traité de l’amour de Dieu. Un texte majeur arrivé jusqu’à nous sous deux formes : sous la forme de trois sermons et sous la forme d’un livre. Dans ce Traité de l’amour de Dieu Saint Thomas de Villeneuve fait comme une sorte de synthèse de sa doctrine spirituelle. En réalité tous ses autres écrits ne font que développer la doctrine spirituelle contenue dans ce livre. La doctrine exposée dans ce petit livre est fondée sur saint Augustin et saint Bernard.
    C’est la raison pour laquelle, il nous a paru pertinent d’ajouter sous forme de notes de pied de page, les textes parallèles de saint Augustin et de saint Bernard. Il est doublement essentiel de faire connaître ce Traité de l’Amour de Dieu aux chrétiens d’aujourd’hui : la première est la haute spiritualité, cependant abordable, du contenu ; la seconde que les démarches pour la reconnaissance de saint Thomas de Villeneuve comme Docteur de l’Église sont aujourd’hui très avancées à Rome.

    18,00 €
  • L'AMOUR QUI NE MEURT PAS

    «De façon inattendue et contradictoire, le décès de mon fils m’a renvoyée à la demande que j’avais faite à l’âge de cinq ans. À l’occasion d’une promenade familiale dans la forêt de Mervent, en Vendée, je suis tombée à genoux dans une grotte où, m’avait-on dit, se réalisait ce que l’on demandait. Dans cette grotte où avait vécu le Père Grignon de Montfort, j’ai demandé de connaître « l’amour qui ne meurt pas », pensant que si on perdait l’amour après l’avoir connu, cela devait être pire que de ne jamais le connaître. C’est dans le creuset de ma douleur de mère que j’ai découvert la profondeur de l’amour divin – qui dépasse toute connaissance » (Éph 3, 1421) – et transforme l’épreuve en espérance.

    15,00 €
  • L'ANGE DE COMPOSTELLE

    L’auteur, pèlerin au long cours, part seul à pied sur une route de 2000 kilomètres qu’il boucle en soixante-deux jours. dans cette quête de sens, à l’écoute de la Bible et des ancêtres du chemin, tant de pensées vont se dire de Paris à Vézelay, de Saint-léonard- de- Noblat à roncevaux, de Burgos à Santiago.
    Toutes les étapes sont improvisées. Les aventures se succèdent, inattendues, savoureuses, parfois austères et ascétiques. Le routard sait rire de lui-même alors que la pluie, le froid, la chaleur ou le rejet des autres l’accablent. Seul ? oui, mais mystérieusement accompagné de Raphaël, l’ange de Tobie, qui va le harceler de questions et lui prodiguer courage et humour pour achever l’improbable cheminement de sueur et de prière. en accomplissant son rêve de foi, il satisfait son désir d’une rencontre avec lui-même et avec Quelqu’un. L’ange est la figure médiatrice entre le marcheur et l’invisible qui l’aimante. Avec l’ange, le terme du pèlerinage se goûte déjà au long du chemin. la marche devient le but, parce que la joie spirituelle est dans le mouvement complice de l’âme et du corps. vivre c’est faire marcher l’âme de son corps sur la terre de Dieu.

    20,00 €
  • L'ANGE DE COMPOSTELLE

    L’auteur, pèlerin au long cours, part seul à pied sur une route de 2000 kilomètres qu’il boucle en soixante-deux jours. Dans cette quête de sens, à l’écoute de la Bible et des ancêtres du chemin, tant de pensées vont se dire de Paris à Vézelay, de Saint-léonard- de- Noblat à roncevaux, de Burgos à Santiago.
    Toutes les étapes sont improvisées. Les aventures se succèdent, inattendues, savoureuses, parfois austères et ascétiques. Le routard sait rire de lui-même alors que la pluie, le froid, la chaleur ou le rejet des autres l’accablent. Seul ? oui, mais mystérieusement accompagné de Raphaël, l’ange de Tobie, qui va le harceler de questions et lui prodiguer courage et humour pour achever l’improbable cheminement de sueur et de prière. en accomplissant son rêve de foi, il satisfait son désir d’une rencontre avec lui-même et avec Quelqu’un. L’ange est la figure médiatrice entre le marcheur et l’invisible qui l’aimante. Avec l’ange, le terme du pèlerinage se goûte déjà au long du chemin. la marche devient le but, parce que la joie spirituelle est dans le mouvement complice de l’âme et du corps. vivre c’est faire marcher l’âme de son corps sur la terre de Dieu.

    20,00 €
  • L'ANIMAL DANS LE COEUR DU CHRIST

    Si la souffrance est l’épreuve la plus bouleversante que l’homme ait à connaître, elle est aussi familière au reste de la Création qui gémit dans l’attente de sa délivrance (Rm 8, 19-23). La mort physique reste un phénomène universel pour l’ensemble des créatures voulues par Dieu. Aussi la perte d’un animal de compagnie peut amener à s’interroger sincèrement sur son devenir après la mort. S’il ne fait aucun doute pour le chrétien que le Christ est le sauveur de l’humanité, qu’en est-il de la gent animale ?
    Confrontée au départ de son fidèle compagnon à quatre pattes, l’auteure se met en quête de trouver des éléments de réponse à ses interrogations dans les Saintes Écritures. Le présent ouvrage propose ainsi une réflexion chrétienne réconfortante, qui amène à découvrir davantage le visage du Christ Roi de l’Univers, comme origine et principe aimant moteur de toute la Création. Il ouvre la voie au lecteur à une « écologie spirituelle », où l’on découvre au final comment l’homme créé à l’image de Dieu peut se révéler un vecteur du Salut, non seulement pour le règne animal mais pour la Création tout entière, en devenant cet « esprit vivifiant » (1 Co 15, 45) auquel il est appelé.

    15,00 €
  • L'ANTÉCHRIST Regards chrétiens sur la question

    La figure de l'Antéchrist hante l'imaginaire collectif de nombreux croyants depuis des millénaires. Pour certains, l'Antéchrist serait une mystérieuse figure, mi humaine, mi diabolique, qui chercherait à s’emparer du monde et des esprits à la fin des temps, quelques années avant l'avènement du Christ. Un individu séduisant, fascinant, mais monstrueux.Pour beaucoup, elle représente le symbole, à travers l'Histoire, de tous les collectifs d'individus, systèmes idéologiques et toutes les forces qui ont essayé de s'opposer à Dieu et au règne du Christ.
    Deux mots apparaissent de manière constante : « antichrist » et « antéchrist ». Ces deux termes se rapportent à cette même figure. Étymologiquement, Antichrist signifie "contre le Christ" et Anté-Christ "avant le Christ". Cette figure serait donc à la fois l’inverse de Jésus-Christ mais aussi celle qui le précède de près, en le singeant.
    Nombre de personnalités ont été assimilés à l'Antéchrist au cours de l'Histoire et les interprétations, nombreuses, varient selon les confessions et les traditions théologiques.
    Que dit l'Église? Que dit la Bible à ce sujet? Qu'ont écrit les grands théologiens sur la question? L'objet de cet ouvrage est de proposer, sans prétendre à l’exhaustivité, un regard chrétien sur le sujet, depuis les écritures saintes aux révélations et prophéties reconnues par la Tradition catholique, en passant par les pères, docteurs de l'Église, papes et saints des premiers temps à aujourd’hui.

    18,00 €
  • L'ANTÉNIETZSCHE -Contre-offensive à L'Antéchrist

    En 1888, quatre mois avant de sombrer définitivement dans le silence, Nietzsche écrivit une assez courte mais célèbre torpille contre les chrétiens et le christianisme : L'Antéchrist. Dans L'Anténietzsche, l'auteur s'emploie à démontrer que toutes les attaques menées par Nietzsche dans ce brûlot sont profondément injustes et de mauvaise foi, reposant essentiellement sur une conviction athée et sur une haine pathologique du christianisme, avec occultation délibérée des saints héroïques que la religion de Jésus produisit pendant deux mille ans. D'autre part, l'auteur propose que le « nihilisme » proviendrait non d'un reniement de la vie à travers une foi dans un au-delà, mais d'un engourdissement généralisé de la foi en tant que puissance de vie, dans les structures gréco-romaines – mondaines de la civilisation occidentale. Ainsi, aphorisme après aphorisme, nombre de thématiques sont abordées : la volonté de puissance, la Modernité, le courage, la réduction de la théologie à la philosophie, la morale, l'hypocrisie, la figure de Jésus, celle de saint Paul, etc. Ce livre est une guerre, une réaction, et à ce titre il est encore... un peu...nietzschéen.

    20,00 €