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  • L'ARIÈGEOISE

    Mathilde Subra a dix-sept ans, à la veille de la 1ère guerre mondiale. orpheline de mère, elle mène l’existence tranquille d’une fille de notaire entre Foix et la vaste métairie du Col. Le conflit s’abat soudain sur le pays. L’étude est confiée à l’associé de son père, car celui-ci part pour la guerre. Mathilde se met à l’ouvrage dans l’exploitation agricole, tout en recueillant deux petits orphelins. Comme toutes les femmes de cette époque, il lui faut se débrouiller sans la tutelle masculine.
    Elle s’éprend d’un jeune médecin, hélas déjà marié. Mais ni ses amours contrariées, ni les difficultés de la vie quotidienne n’auront raison de cette jeune fille qui deviendra vite une jeune femme sensible et forte à la fois, mûrie prématurément par des événements qui lui volent sa jeunesse mais ne parviennent pas à étouffer son envie de vivre. En toile de fond, l’auteur nous fait revivre les horreurs de la guerre, de façon très documentée.
    Cette histoire passionnante et romanesque se déroule en Ariège, avec ses montagnes, ses cavernes, ses ours et son patois chantant, ses légendes, ses superstitions, au pied des tours du château de Foix. Nous y croisons de célèbres Ariégeois, tels Gabriel Fauré ou Théophile Delcassé.

    20,00 €
  • L'ARMOIRE A PHARMACIE DE L'ABBÉ KNEIPP Plantes, tisanes, teintures huiles et poudres du jardin du Bon Dieu

    Ce petit livre est un court extrait de « Meine Wasserkur » — « Ma cure d’eau » —, paru en Allemagne en 1886, où Kneipp décrit toutes les applications d’eau qu’il a découvertes et pratiquées. Il avait aussi développé en complément l’usage des plantes, dont rend compte le présent opuscule.
    Ce petit ouvrage contient d’abord une présentation plus ou moins détaillée de chaque plante et de ses applications ; puis une liste succincte des plantes les plus indispensables pour une petite armoire à pharmacie domestique ; ensuite, quelques remèdes complémentaires ; enfin une notice un peu détaillée de la vie de l’Abbé Kneipp.
    La forme particulière du livre s’explique à la fois par son sujet, et par le fait qu’il est un extrait d’un ouvrage plus vaste. Et comme le dit lui-même l’auteur dans la préface de la première édition, par son style « fruste » – mais efficace…
    Kneipp a certainement été très célèbre en son temps, et il reste relativement connu en Allemagne et dans les pays germaniques, par la fédération d’associations qui continuent à diffuser sa méthode.

    18,00 €
  • L'ART DE GOUVERNER

    L’abbé voulu par saint Benoît à la tête de la communauté ne gouverne pas comme le font les chefs de tous les temps : « Il n’élève pas le ton, il ne brise pas le roseau froissé ». Au contraire, il donne sa vie pour l’amour de ses frères. Comme le bon berger, son souci est de « ne perdre aucune des brebis qui lui sont confiées ». Loin de garder pour soi celles qui sont bien portantes et de rejeter les débiles, il prend soin des plus faibles à ses dépens. Pour servir ses frères et les guider, la douceur et la miséricorde sont plus efficaces que la rigueur et la sévérité. L’autorité est entièrement au service de l’Amour. Contrairement au pouvoir qui écrase pour dominer, elle développe et fait grandir les personnes. Elle s’exerce comme un service et, à ce titre – qui la réfère directement au Christ – elle est indispensable.

    12,00 €
  • L'ART DE GOUVERNER

    L’abbé voulu par saint Benoît à la tête de la communauté ne gouverne pas comme le font les chefs de tous les temps : « Il n’élève pas le ton, il ne brise pas le roseau froissé ». Au contraire, il donne sa vie pour l’amour de ses frères. Comme le bon berger, son souci est de « ne perdre aucune des brebis qui lui sont confiées ». Loin de garder pour soi celles qui sont bien portantes et de rejeter les débiles, il prend soin des plus faibles à ses dépens. Pour servir ses frères et les guider, la douceur et la miséricorde sont plus efficaces que la rigueur et la sévérité. L’autorité est entièrement au service de l’Amour. Contrairement au pouvoir qui écrase pour dominer, elle développe et fait grandir les personnes. Elle s’exerce comme un service et, à ce titre – qui la réfère directement au Christ – elle est indispensable.

    8,00 €
  • L'ART DE LA LECTURE A HAUTE VOIX

    Ce livre s’adresse à tous ceux qui aimeraient pouvoir mais qui n’osent pas lire à haute voix ou tout simplement prendre la parole en public. À tous ceux – nombreux – pour qui la prise de parole publique est un danger extrême, qui préfèrent renoncer et garder le silence, se priver de l’échange par peur de dire des bêtises, de montrer leur timidité, d’être jugés, moqués, exclus.
    À tous ceux-là je voudrais dire combien je les comprends, et combien je les invite à se mettre en chemin !
    Ce livre est aussi une réponse à ces réflexions si souvent entendues: « mais tout le monde sait lire! Pourquoi des ateliers pour cela? Il suffit de prendre un livre et de lire tout haut!»
    Et pourtant ! Qu’est ce qui fait qu’une personne lisant un texte ou prenant la parole en public va capter son auditoire tandis qu’une autre ne parviendra pas à se faire entendre? Ni à faire entendre ce texte que pourtant elle lit «de tout son coeur», dans le plus grand silence de son auditoire, mais que personne n’écoute ni n’entend.
    A la manière d’un «nez» qui cherche à discerner les composantes d’un envoûtant parfum, nous allons détailler ensemble avec minutie les ingrédients qui font du travail du lecteur à haute voix un véritable voyage initiatique, et de la lecture à haute voix non seulement une pratique exigeante mais un art, qui entraîne les auditeurs-spectateurs dans l’aventure des mots, de l’écriture, du langage et de la communication.

    16,00 €
  • L'ART DE SE TAIRE principalement en matière de religion

    Confrontant à la tradition spirituelle diverses situations-types où la religion catholique est mal discutée, autant par la parole que par les mots, l’abbé Dinouart dissèque les multiples origines possibles (politiques, psychologiques et sociales) de ces dérives par une petite typologie de ces situations, classées selon le profil des caractères de discoureurs à travers un échantillonnage minutieux traversant les classes sociales et les milieux culturels. C’est également une invitation à reconsidérer la place du silence dans les débats : trop souvent soit méprisé comme un refuge médiocre pour les faibles d’esprit et de caractère, soit cantonné à la discipline régulière des cloîtres monastiques ; il serait plutôt, en réalité, non seulement une marque de sagesse mais également une disposition d’esprit privilégiée d’une grande âme en quête de vérité.

    17,00 €
  • L'ART, LE FEU, LA LIBERTÉ Renaissance de la Grèce de la Philiki Hetairia (1813) au début du règne d'Othon (1837)

    Lorsque les Grecs se libèrent du joug des Turcs en 1821, ils cherchent dès le départ à protéger leur patrimoine. Car quelle identité leur reste-t-il, après quatre cents ans d’occupation ? Ils se raccrochent aux vestiges d’une période classique certes révolue, mais préservée dans le cœur, l’esprit, la philosophie, l’éducation, les musées qui parsèment l’Europe de l’époque. Entre 1813, avec la création de la Philiki Hetairia et la Société des Philomuses qui chercha à enseigner les arts des muses, et 1837, où un département de la Conservation du Patrimoine est créé, en même temps qu’une Société Archéologique et une Revue Archéologique, la révolution pour la liberté et l’organisation du patrimoine ont été des combats menés main dans la main. La Grèce a miraculeusement survécu grâce à son histoire. À coups de sabre ou par la force de la loi, le combat pour sauvegarder les antiquités n’est pas gagné. Il faudra plusieurs années, presque un siècle et demi bien après la guerre d’indépendance de 1821, pour que les Grecs retrouvent la paix, la liberté – malgré un roi étranger imposé, des frontières – même réduites, et surtout le respect des archéologues, collectionneurs et acheteurs étrangers de tout crin. La fièvre inextinguible des Européens pour les antiquités mènera à des échanges bien amers, qui ont des répercussions dont nous pouvons témoigner encore aujourd’hui avec par exemple les marbres du Parthénon. Les insurgés, parfois les paysans, le premier président de la Grèce Ioannis Capodistrias, et quelques ministres vont mener tant bien que mal ce combat de David contre Goliath. Leur adversaire est de taille en effet : il ne s’agit rien de moins que des plus grandes puissances de l’époque, l’Autriche de Metternich, l’Angleterre de Georges IV, la France de la Restauration, La Russie des Tsars et l’Empire Ottoman. Des premières déclarations révolutionnaires aux premiers musées grecs, bien du sang a coulé.

    22,00 €
  • L'ASSISE EN DIEU exercices de zazen au service de la prière

    Le Zen qui est une des religions du bouddhisme, se caractérise entre autre par l'importance accordée à l'assise silencieuse zazen.
    Dans le cadre du dialogue interreligieux monastique, le Frère Benoît Billot, bénédictin s'est rendu dans un monastère bouddhique zen au Japon pour y vivre quelques temps.Pendant 40 ans, il a pratiqué et s'est formé pour devenir enseignant Zen. Il nous montre comment cette pratique peut être une aide précieuse pour disposer notre psychisme et notre corps à la prière du cœur. Avec son habituel talent à distiller l'essentiel en peu de mots, il nous propose des petits exercices tirés de cette Sagesse orientale visant à prendre la posture assise, à travailler le souffle, à se détacher du flux continuel de nos pensées pour " lâcher prise " et s'ouvrir à la Présence agissante de Dieu.

    14,00 €