L'IMITATION DE JESUS-CHRIST
Rif.: SLP10
Disponibilità:
Disponibile
Esaurito
Prezzo speciale: 22,00 €
Prezzo: 22,00 €
« Depuis longtemps je me nourrissais de « la pure farine » contenue dans l’Imitation… j’en savais par cœur presque tous les chapitres, ce petit livre ne me quittait jamais, en été, je le portais dans ma poche, en hiver dans mon manchon »
(Sainte Thérèse de Lisieux, manuscrits autobiographiques).
L'étonnante fortune de cet ouvrage tient du prodige car aucun autre, sans en excepter les livres bibliques, n'a eu, en France, le quart des traductions qu'on y a faites de l'Imitation.
L'Imitation de Jésus-Christ – même si l’on accorde cependant actuellement cette œuvre à Thomas a Kempis – est une œuvre anonyme de piété chrétienne de la fin du XIVe siècle ou du début du XVe siècle, représentative du mouvement de réforme spirituelle appelé devotio moderna et dont la plus ancienne version française parut à Toulouse en 1488.
Longtemps, dans les monastères d'Allemagne, de France, de Gaule et de Belgique, aucun livre n'eut pareil succès si bien que le nombre d’exemplaires copiés finit par dépasser de beaucoup celui de l'Évangile même. Ce qui fit dire à Fontenelle : « L'Imitation de Jésus-Christ est le plus beau livre qui soit parti de la main d'un homme, puisque l'Évangile n'en vient pas ».
Au cours des siècles, l'influence de L'Imitation auprès des laïcs, des prêtres, des religieux ne s'est pas démentie.
Et son succès ne se dément pas depuis des siècles. En 1450, il en existait plus de deux cent cinquante manuscrits et de nouvelles éditions sortent encore régulièrement : les traductions de Pierre Corneille en 1978 et Félicité Robert de Lamennais en 1998 ont été republiées en collections de poche.
L'Imitation a été traduite dans toutes les langues des peuples civilisés par des missionnaires qui se sont accordé à considérer le livre de l'Imitation comme le meilleur manuel de la vie spirituelle, comme « le plus utile semeur de la morale du Christianisme ».
Parmi la centaine de traductions françaises de l'Imitation, une des plus célèbres est la traduction commentée de l’écrivain, philosophe et prêtre français, l’abbé Hugues-Félicité Robert de Lamennais, né le 19 juin 1782 à Saint-Malo (Ille-et-Vilaine), mort en 1854 à Paris).
(Sainte Thérèse de Lisieux, manuscrits autobiographiques).
L'étonnante fortune de cet ouvrage tient du prodige car aucun autre, sans en excepter les livres bibliques, n'a eu, en France, le quart des traductions qu'on y a faites de l'Imitation.
L'Imitation de Jésus-Christ – même si l’on accorde cependant actuellement cette œuvre à Thomas a Kempis – est une œuvre anonyme de piété chrétienne de la fin du XIVe siècle ou du début du XVe siècle, représentative du mouvement de réforme spirituelle appelé devotio moderna et dont la plus ancienne version française parut à Toulouse en 1488.
Longtemps, dans les monastères d'Allemagne, de France, de Gaule et de Belgique, aucun livre n'eut pareil succès si bien que le nombre d’exemplaires copiés finit par dépasser de beaucoup celui de l'Évangile même. Ce qui fit dire à Fontenelle : « L'Imitation de Jésus-Christ est le plus beau livre qui soit parti de la main d'un homme, puisque l'Évangile n'en vient pas ».
Au cours des siècles, l'influence de L'Imitation auprès des laïcs, des prêtres, des religieux ne s'est pas démentie.
Et son succès ne se dément pas depuis des siècles. En 1450, il en existait plus de deux cent cinquante manuscrits et de nouvelles éditions sortent encore régulièrement : les traductions de Pierre Corneille en 1978 et Félicité Robert de Lamennais en 1998 ont été republiées en collections de poche.
L'Imitation a été traduite dans toutes les langues des peuples civilisés par des missionnaires qui se sont accordé à considérer le livre de l'Imitation comme le meilleur manuel de la vie spirituelle, comme « le plus utile semeur de la morale du Christianisme ».
Parmi la centaine de traductions françaises de l'Imitation, une des plus célèbres est la traduction commentée de l’écrivain, philosophe et prêtre français, l’abbé Hugues-Félicité Robert de Lamennais, né le 19 juin 1782 à Saint-Malo (Ille-et-Vilaine), mort en 1854 à Paris).